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Végétarisme : un impératif éthique et écologique

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24 novembre 2008

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1 octobre 2007

Les Animaux - Pourquoi on doit les respecter

Il est souvent proclamé, particulièrement par certains groupes religieux, que les animaux furent mis sur Terre pour que les gens en disposent à leur gré. Ce point de vue aide à comprendre l'étendue des abus de l'homme sur le royaume animal. L'attitude envers les animaux de beaucoup de gens est assez similaire à celle adoptée à l'égard d' êtres considérés inférieurs. L'esclavage, qui fut longtemps une façon établie et acceptée de traiter les autres dans les sociétés humaines, reflète l'attitude similaire adoptée à l'égard des animaux par beaucoup de gens dans la société contemporaine. Le respect pour la vie est un slogan souvent cité aujourd'hui que chacun devrait méditer, et sur l'importance qu'il suggère non seulement le respect pour les autres hommes mais aussi pour toutes les formes de vie, animales ou végétales. Tous ont leur place sur la Terre. Nous devons vivre de quelque chose et il est souvent suggéré que nous devrions descendre le plus bas possible dans la chaîne alimentaire pour notre nourriture. Les végétariens ont fait une part du chemin et les végétaliens et frugivores encore plus. Les trois approches sont basées sur le respect de la vie et sur l'opinion que les animaux devraient être beaucoup mieux traités par les hommes.

La cruauté est virtuellement endémique dans la société humaine et on peut se demander ce qui fait que tant d'hommes recherchent et se réjouissent de la cruauté dans leur vie. Les cruautés dans certains soi-disants "divertissements" appellent une attention particulière dans leur propre droit. Cependant, cet article est principalement orienté sur le végétarisme. Certains ne considèrent pas cruel de manger les animaux et prétendent que ceux-ci sont bien traités pendant leur vie. Bien entendu, ceci est devenu absolument faux avec le développement des méthodes d'élevage industriel et l'absence de toute considération pour le comportement naturel des animaux. Si les veaux sont mis dans des boxes qui leur empêchent l'accès à leurs mères, le grand air, et les prairies vertes qui sont leur habitat naturel, ou si les poulets sont cloîtrés dans des systèmes intensifs leur ôtant la possibilité d'étirer leurs ailes et de garder leurs habitudes naturelles, ceci et beaucoup d'autres pratiques sont tous basés sur l'absence de considération et de respect pour les animaux.

Les arguments en faveur de ces pratiques sont économiques, bien que ceux qui exercent habituellement de telles cruautés prétendent que les animaux préfèrent de tels traitements. Si de telles pratiques ne sont pas cruelles alors que sont-elles ? Certains prétendent que les animaux ne choisissent pas de sortir de leur boxe même portes ouvertes, alors que c'est plus le résultat du conditionnement que d'un choix. Une chose est sûre, ce choix n'est pas donné aux animaux ! La société occidentale moderne a beaucoup de responsabilités en encourageant une alimentation basée sur la viande. Malheureusement, certains pays du Tiers Monde regardent l'Occident comme un modèle séduisant ! Ils prêtent rarement attention au traitement des animaux et aux effets de la viande sur la santé et l'environnement. La pression de l'opinion publique dans beaucoup de pays en développement devrait être un argument suffisant pour stopper et abandonner une alimentation basée sur la viande.

La production animale dans les systèmes d'élevage intensif concentre les rejets animaux au lieu de les épandre sur les champs comme fumure. Ce qui était vu autrefois comme souhaitable devient maintenant une nuisance et un problème économique. L'évacuation des déchets est coûteuse et le problème est étroitement lié à l'augmentation de la consommation de viande. Les éleveurs rejettent les déchets dans les eaux d'égouts, les ruisseaux et les rivières, ce qui pollue et détruit les écosystèmes qui existaient depuis si longtemps. De plus, la nature intensive de l'élevage industriel facilite la propagation des maladies, donc les animaux sont traités avec de grandes quantités d'antibiotiques, d'activateurs de croissance et d'autres produits similaires. Bien entendu, ceux-ci se concentrent dans la viande et entraînent troubles et maladies chez l'homme. De plus, certains de ces produits se retrouvent dans les eaux d'égout et sont repris un peu plus tard dans la chaîne des eaux où l'eau impure est repompée pour l'homme et la purification n'enlève pas la totalité de ces résidus.

L'augmentation du cancer, des maladies cardio-vasculaires, des maladies rénales et du foie, aussi bien que le diabète et beaucoup d'autres problèmes de santé, sont liés de près à l'augmentation de la consommation de viande. La recherche médicale fournit d'amples preuves qu'une alimentation végétarienne est meilleure pour la santé et que l'incidence de nombreusese maladies sérieuses est beaucoup moins commune chez les végétariens. C'est bien de faire quelque chose pour des raisons morales mais c'est encore mieux si on découvre que c'est bien pour la santé aussi !

Le développement du végétarisme dans le monde occidental atteste de l'augmentation chez de nombreuses personnes du désir d'une vie plus humaine, d'un style de vie en harmonie avec l'environnement et la santé. En Amérique du Nord, Amérique du Sud, Europe et Australie il y a une progression marquée et continue du végétarisme. En Europe de l'Est et en Europe Centrale, depuis les changements politiques, il y a eu une poussée d'intérêt pour le végétarisme. Les mouvements végétariens et de protection animale se sont développés et gagnent du soutien. En Asie l'encouragement gouvernemental pour la consommation de viande est contré par des groupes végétariens. Dans un pays comme l'Inde, avec une longue histoire d'Ahimsa, respect pour la vie donc végétarisme, la bataille pour le végétarisme est menée par des groupes moraux et religieux, aussi bien que par des environnementalistes et docteurs qui apprécient les bénéfices d'une approche végétarienne. En Grande Bretagne la poussée du végétarisme a été très marquée durant ces 20 dernières années, ainsi maintenant les végétariens ne sont plus regardés comme des gens singuliers ou étranges mais faisant partie du courant actuel. Des repas végétariens sont disponibles dans tout le pays et la jeunesse se dirige vers le végétarisme. Les supermarchés étalent un bon assortiment de produits végétariens, rendant les courses plus faciles, et attirent l'attention des mangeurs de viande sur la grande variété d'aliments bons et sains que les végétariens consomment. Linda McCartney, épouse du fameux Beatle, Paul McCartney (les deux sont récemment devenus responsables de la Vegetarian Society du Royaume Uni), a élaboré une variété d'imitations de produits carnés, incluant tourtes et saucisses, qui attirent beaucoup de gens ne se considèrant pas eux-mêmes comme végétariens. De telles initiatives sont de plus en plus imitées dans d'autres pays.

La technologie moderne a grandement à répondre de la façon dont l'homme traite les animaux. Récemment, la montée de la biotechnologie et de la manipulation génétique a entraîné de nouvelles façons d'utiliser l'animal pour servir l'homme, et la moralité semble être peu considérée quand on pense de quelles façons les espèces peuvent être manipulées pour que l'homme les exploite encore plus. Si les hommes ont des droits sur les animaux, on peut dire également qu'ils ont des responsabilités. Cela veut dire qu'ils doivent considérer l'animal, son bien-être et sa santé. Malheureusement, la situation présente suggère que ces pratiques sont peu courantes chez la grande majorité des gens. Le seul but qui les intéresse est de maximiser le rapport économique de l'animal.

Il est souvent argumenté que les animaux étant des espèces différentes des humains, la façon de les traiter n'est pas importante. Bien entendu, les personnes qui expriment de telles vues pourraient également ne pas être trop concernées par la manière dont les autres sociétés humaines sont traitées. Beaucoup d'entre nous peuvent voir une relation entre les deux. Les gens qui traitent les autres humains avec respect sont plus susceptibles de montrer du respect envers les autres espèces. Plus d'une fois on a entendu la suggestion que l'intérêt pour les animaux devrait être remplacé par l'intérêt pour les humains. Les gens concernés par les droits de l'animal sont normalement autant concernés par les souffrances humaines.

Nous savons que les animaux ressentent la peine, la souffrance et montrent de la détresse. Nous ne pouvons comprendre complètement leur processus de pensée mais il y a suffisamment de preuves que les animaux ont leurs sociétés et leurs manières de vivre. Qui ira dire qu'avec le temps leurs droits devraient être inférieurs à ceux attendus et recherchés par les humains ? Beaucoup d'animaux sont moins intelligents que les humains mais il y a aussi des variations considérables de l'intelligence parmi les hommes. Si quelqu'un prétend que l'intelligence inférieure de beaucoup d'animaux nous donne le droit de les traiter comme nous voulons, sans égards, alors il pourrait aussi prétendre que les humains moins intelligents devraient être traités de façon similaire. En fait, certaines philosophies politiques, bien que très discréditées, ont avancé de tels arguments.

Nous sommes sur cette planète pour un temps limité et la manière dont nous interagissons et utilisons la planète affectera les générations futures, probablement jusqu'à la fin du monde tel que nous le connaissons. On peut proclamer que c'est notre intérêt de minimiser les souffrances et mauvais traitements subis par les animaux et les hommes, et de se diriger vers un monde plus humain et en paix avec lui même. Présumant que c'est un but que la grande majorité des gens voient comme souhaitable, il est donc nécessaire d'améliorer notre conduite envers les hommes et les animaux. Les gens souhaitent généralement vivre en bonne santé et l'approche végétarienne conduit dans cette direction tout en minimisant la souffrance des autres espèces animales. L'approche carnivore entière est basée sur l'hypocrisie. Les gens utilisent quelques animaux comme compagnons et les traitent d'une façon spéciale. Les autres animaux sont souvent vus comme nuisibles ou comme nourriture et donc ne justifient pas les soins et la protection que reçoivent les animaux de compagnie. Il est bon de rappeler que dans beaucoup de pays, si l'on traitait son animal familier de la même façon que dans les fermes on serait passible de poursuites judiciaires. Beaucoup d'animaux sauvages ne bénéficient d'aucune protection légale et sont donc là pour les chasseurs et quiconque d'autre pour les traquer et les traiter comme ils le souhaitent.

C'est ma conviction que l'avenir du monde est très lié à la manière dont nous traitons nos plus faibles créatures et compagnons. Cruauté et méchanceté ne devraient plus avoir de place dans une société civilisée. Bien que nous clamions souvent que nous sommes civilisés, je prétendrai que nous en sommes loin. De nos jours nous regardons l'esclavage avec horreur et avons des difficultés à comprendre comment de telles pratiques ont pu durer si longtemps et existent encore maintenant dans quelques parties du monde. Comme nous sommes sortis de l'esclavage humain nous devons regarder l'étape suivante et sortir de l'esclavage animal. Un monde végétarien sans exploitation ni cruauté envers les humains et les animaux, par moralité et par intérêt, doit être notre but. Si nous ne nous en préoccupons pas maintenant, l'avenir de toutes les créatures continuera à être sombre.

Maxwell G.Lee Maxwell G.Lee
IVU General Secretary, 1979-1996
IVU Deputy President 1996-1999
IVU President 1999
IVU Chairperson 1999-2000
Fellow of IVU, from 2000
IVU Council Member 2002

Source : IVU Newsletter, Octobre 1995

Traduction française de G. Chatras

16 mai 2006

La pub charal

Depuis plusieurs semaines charal se moque des VG et aujourd'hui la moutarde m'ai monté au nez  (trop c'est trop !!!)
Je leur ai donc envoyé un mail et j'invite tous les VG à en faire autant histoire que cette société comprenne bien que rien ne changera un VG pour les animaux restera VG et refusera de consommer du cadavre quoi qu'il soit "dit "
Voici donc leur adresse :
  http://www.charal.fr/

Voici une vidéo faite par l'association les animaux ont des droits :charal
N'hésitez pas à la faire tourner !!!

30 mars 2006

Mobilisation pour les bébés phoques !

Cliquez sur ce lien pour voir la vidéo : http://youtube.com/watch?v=n_p7_plqqy0

Et allez signer la pétition pour que cela cesse c'est inadmissible !!!! http://www.thepetitionsite.com/takeaction/263683224?z00m=76981&z00m=76981&ltl=1143727340

Merci à vous pour votre mobilisation


ifawseals_06_clubbing_large

27 mars 2006

Mobilisation pour la SMAL

Semaine  Mondiale pour la
               Libération des "Animaux de Laboratoire"
               

Tous dans la rue pendant la SMAL 2006 !               

du 23 au 30 avril 2006

Les belles paroles ne servent à rien,
seule l'action compte !               
             

Vous visitez ce site et cette page certainement parce que vous êtes révolté(e) contre la barbarie pratiquée sur les animaux dans les laboratoires d'expérimentation.

SMAL 2006 = DANS 1 MOIS               

Aussi, à 1 mois du lundi 24 avril 2006, Journée Mondiale des "animaux de laboratoire" reconnue par les Nations Unies, et donc de la SMAL 2006, il est encore temps pour celles et ceux d'entre vous qui n'ont pas prévu d'action locale de protestation et de sensibilisation sur le douloureux (pour les animaux) thème de la vivisection de vous organiser dans votre région/ville pour participer à cette campagne internationale majeure et dénoncer les crimes sans nom commis dans les laboratoires du monde entier !

Pour que le mal triomphe, il suffit de laisser faire !               

En effet, il n'y a pas de quoi s'endormir ou rester les bras croisés quand, rien qu'en France, 7000 animaux réduits à l'état de matériel de laboratoire et traité comme tel meurent de suite d'actes de barbarie chaque jour dans les laboratoires français. L'expérimentation sur les animaux ne va ni régresser ni cesser si les personnes sensibles au sort des animaux ne s'organisent pas pour protester et lutter.

Actuellement, la vivisection est en pleine expansion. Et ce, malgré les engagements apparemment pris dans le cadre d'un projet particulier, REACH, visant à réduire le nombre d'animaux pour tester des produits chimiques aussi inutiles que polluants. "Progrès" annihilés d'office, notamment, à cause de toutes ces campagnes médiatiques à caractère "humanitaire" destinées à faire pleurer dans les chaumières pour récolter de l'argent qui sera en partie utilisé pour pratiquer d'ignobles expériences sur un nombre toujours plus important et révoltant d'animaux innocents au nom de la recherche médicale (thérapie génique, xénogreffes et expériences dans le domaine des biotechnologies et de la lutte contre les virus en tout genre). Sans parler des traditionnelles vivisection et expérimentation animale effectuées comme un rite malsain et absurde dans tous les Établissements Publics de recherche Scientifiques et Techniques (EPST), facultés, écoles vétérinaires et de médecine et autres laboratoires privés ou de soustraitance de tests et d'expériences sur des animaux tourmentés sans même pouvoir se défendre.               

ENGAGEZ-VOUS !

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17 mars 2006

Les journées spéciales ... Nationales, internationales, mondiales ...

Vous avez entendu parler de ... 

- La journée de la femme : Internationale le 8 mars

- La journée de la Francophonie : Internationale le 20 mars

- La journée d'opposition aux OGM : Nationale le 8 mai

- La semaine du handicap : Nationale du 14 au 20 novembre

- La journée de la trisomie 21 : Nationale le 27 novembre

- La Journée sans tabac : Mondiale le 31 mai

- La journée de l'environnement : Mondiale le 5 juin

- La journée du refus de la misère : Mondiale le 17 octobre 

Et il y en à tant d'autres ...

Mais ...  Avez vous entendu

parlez de ???


- La journée sans viande :


Internationale le 20 mars

Maintenant vous savez !!!

Publié par l’association rennaise «  réVéGez vous !  »

http://www.revegezvous.com

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12 mars 2006

Manifeste contre l'élevage intensif des poulets

Manifeste pour l'interdiction de l'élevage intensif des poulets de chair

L'interdiction de l’élevage intensif : vers une éthique de l'alimentation

Constatant que l'élevage intensif implique nécessairement la maltraitance des poulets :

Lire et signer le manifeste : http://www.poulets.fr/page.php?id=pages/manifeste.php

Tour Poulets 2006

Tour Ouest Nord :

Brest mardi 2 mai

Rennes mercredi 3 mai

Nantes jeudi 4 mai

Angers vendredi 5 mai

Le Mans samedi 6 mai

Tour Ouest Sud :

Bordeaux mardi 4 juillet

Bayonne mercredi 5 juillet

Pau jeudi 6 juillet

Toulouse vendredi 7 juillet

Carcassonne samedi 8 juillet

Horaires : de 9h (installation) à 15h00 (départ), fonctionnement du stand : de 10h à 14h30

L'élevage industriel, c’est l’enfer !

Fouiller le sol, picorer, prendre des bains de poussière au soleil, couver ses œufs et élever ses poussins : les livres pour enfants continuent à évoquer ainsi le quotidien de poules heureuses et insouciantes. Dans le monde réel, il y a moins matière à de jolies histoires. Chaque année en France, plus de 800 millions de poules sont élevées dans d’effroyables conditions. Pendant leur courte vie, à aucun moment elles ne connaissent la chaleur du soleil ou la douceur de l’air. Leur triste existence se passe à l’intérieur de hangars malsains, sans fenêtres et surpeuplés, où chacune ne dispose même pas de l’espace d’une page A4.

Débecquage à vif
Pour éviter les comportements d’agression déclenchés par la promiscuité, les éleveurs tranchent le bec des poussins quelques heures à peine après l’éclosion à l'aide d'une lame chauffée à blanc. Le débecquage à vif est une opération si douloureuse que les poussins succombent parfois de crise cardiaque, ou se laissent par la suite mourir de faim tellement picorer est devenu douloureux.

Stress intense
Hangars surpeuplés et cages exiguës rendent impossible la moindre relation sociale. Incapables de donner libre cours à leurs comportements les plus élémentaires, de gratter le sol ou de faire un nid, beaucoup de poules deviennent stressées, agressives ou démentes au point que les auto-mutilations ne sont pas rares.

Le triste destin des petits poussins
Parmi les animaux élevés pour leur chair, les poulets sont de loin les plus nombreux. Chaque année en France, plus de 830 millions finissent dans nos assiettes.

Au moment de l'abattage, les poulets n’ont que 41 jours. Dans la nature, ils resteraient avec leur mère pendant encore un bon mois et pourraient vivre jusqu’à l’âge de six ou sept ans. Les poulets proposés sur le marché ne sont donc que de pauvres poussins difformes.

Les manipulations génétiques, les médicaments et autres substances ajoutées à la nourriture permettent d'obtenir une croissance foudroyante, mais certains organes ne se développent pas aussi vite que le reste du corps. Incapables de supporter le poids d’un corps aussi disproportionné, les os des pattes se déforment ou se brisent. Les oiseaux développent de douloureuses malformations qui les empêchent de se déplacer normalement (un rapport de l’INRA révèle que de 75 à 90 % des animaux en élevage intensif ont une démarche altérée) et les obligent à se traîner vers les points d’eau et de nourriture. Ceux qui ne peuvent les atteindre meurent de faim et de déshydratation.

Souvent, le cœur aussi peine à suivre cette croissance accélérée, et des millions de poulets souffrent de défaillances cardiaques (88 millions en meurent chaque année en Europe).

Les transports sont une autre occasion de stress et de souffrances. Il n'est pas rare que les manutentionnaires qui rassemblent les poulets leur brisent les os en les sortant des cages et en les entassant dans des caisses. Saisis par les pattes et manipulés sans ménagement, nombre d'entre eux sont victimes d'hémorragies douloureuses avant même d'arriver à l'abattoir.

A la sortie des cages, les oiseaux sont suspendus par les pattes à une chaîne mécanique. Leur tête est ensuite plongée dans un bain électrifié pour les étourdir (c’est « l’électronarcose »). Des couteaux automatiques leur tranchent alors la gorge. Malheureusement, bien souvent, les oiseaux tentent de se redresser et échappent à l’étourdissement. Ils sont alors décapités en pleine conscience.

Acheter un œuf, c’est condamner une poule
Le nombre de poules pondeuses en France est estimé à 55 millions d’individus, dont une immense majorité en élevage industriel.
Dans les élevages en batterie, ou « hors-sol », les poules sont détenues dans des rangées de cages superposées. Elles ne peuvent ni déployer leurs ailes, ni se tenir debout normalement. Même si l’Union Européenne a décidé d’interdire ces cages à partir de 2012, pour les remplacer par des « cages améliorées », le progrès ne sera guère notable.

Tout est fait pour augmenter la production sans tenir compte le moins du monde des besoins physiologiques et psychologiques de la poule : l’éclairage prolongé diminue les heures de repos, la poule n’a aucune possibilité de s’isoler pour pondre et tente vainement de retenir chaque œuf et de le couver, le sol grillagé et pentu blesse ses pattes. Les lésions et fissures qui en résultent sont source de douleur, ainsi que les déformations osseuses et maladies virales. Il arrive même que les pattes restent entortillées au grillage et se retrouvent arrachées.

Broyés vivants
Les poules pondeuses sont issues de souches sélectionnées pour leur fertilité. Contrairement aux idées reçues, les mâles ne sont pas destinés à devenir des poulets de chair, car ces poulets sont issus d’autres souches, choisies pour leur croissance rapide. Ainsi, les poussins mâles sont éliminés à la naissance : selon le cas, ils sont broyés vivants dans des broyeuses mécaniques, ou bien gazés.

Article tiré du site de PETA France : http://www.petafrance.com/vegetarian-poultry1.asp

6 mars 2006

des sites encore des sites

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18 février 2006

DROITS DES ANIMAUX

Il y a peu de temps, les médias ont parlé de la Chine et montré leurs
pratiques atroces pour les fourrures, ce qui est une bonne chose quelque
part, même si celà ne devrait  pas  être nécessaire pour que chacun
prenne conscience qu'acheter et porter de la fourrure est mal !
Ah! Si seulement tout était enfin dévoilé à la population, car,
malheureusement, il n'y a pas que dans les pays lointains que des
abominations sont commises.
En France le meurtre, la torture, le non-respect animal frappent chaque
jour !
Si ce qui se passe sous notre nez etait connu de tous, il est certain que
bon nombre de personnes changerait son mode de consommation pour
enfin redonner un semblant d'humanité à cette planète !
                

16 février 2006

Chers légumes !!!

Pourquoi les légumes et fruits sont bons ?

On entend souvent dire qu'il faut consommer des légumes et des fruits
( 10/jour ) oui mais pourquoi ? me direz vous !

Les fruits et légumes c'est beau , c'est coloré , c'est bon , sucré , vitaminé , acidulé, bref ... Pas seulement ça !!!!!!!

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Les légumes verts et les fruits

Salades, concombres, tomates mais aussi pommes, oranges, fraises... Les fruits et légumes sont nombreux. Ils sont riches en fibres, vitamines ou sels minéraux. Indispensables à chaque repas !

C’est une grande famille que celle des fruits et des légumes car on y classe l’ensemble des "végétaux non amylacés" autres que ceux apportant de l’amidon, soit l’ensemble des fruits et des légumes, quelles que soient leurs couleurs ou leurs formes. Les végétaux riches en amidon (réserve glucidique du règne animal) sont en fait les féculents (légumes secs, céréales et pommes de terre). On rencontre donc ici l’ensemble des légumes crus ou cuits de notre alimentation : les salades, les concombres, les tomates, artichauts, betteraves rouges, céleris, poireaux, carottes, endives… ainsi que l’ensemble des fruits : pommes, poires, clémentines, brugnons, pastèques, cerises, oranges, kiwis, fruits tropicaux…

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Fruits et légumes à tous les repas !

Les aliments de ce groupe contiennent très peu de protéines et de lipides mais sont en revanche très riches en fibres, sels minéraux et vitamines diverses, notamment ceux ayant des propriétés anti-oxydantes, en eau, ont des teneurs variables en glucides. De par la richesse en micronutriments de ces aliments il faut en consommer abondamment à chaque repas. Leur teneur en protéines est très faible, en général on en trouve moins d’un demi gramme pour cent grammes de produit, avec des protéines incomplètes car déficitaires en certains acides aminés essentiels. Les lipides sont quasiment absents des légumes et des fruits.

Riches en fibres, vitamines et minéraux

La principale qualité nutritionnelle des fruits et légumes réside dans leur richesses en sels minéraux et vitamines de toutes sortes. Les minéraux sont essentiels au bon fonctionnement de notre organisme au même titre que les vitamines. A côté des minéraux et vitamines, on trouve aussi d’autres substances qui favorisent leur utilisation par notre organisme.

Leur teneur en fibres est significative. Ces fibres, solubles et insolubles, ne peuvent pas être digérées par notre organisme et ont à ce titre de nombreux effets bénéfiques sur ce dernier : amélioration du transit intestinal et du fonctionnement du colon, intérêt bénéfique sur les taux sanguins de cholestérol et de triglycérides, amélioration de la flore bactérienne symbiotique qui vit dans le colon.

Les glucides sont quasiment absents des légumes mais bien présents dans les fruits. Les fruits acides comme les agrumes en sont moins riches que les autres fruits. Les fruits et les légumes sont aussi un vecteur d’hydratation important puisqu’ils sont constitués à 80-90 % d’eau.

Aussi bons crus que cuits...

La préparation des légumes fait grandement varier leurs teneurs en nutriments et donc leurs qualités nutritionnelles : le parage et la cuisson des végétaux entraînent de nombreuses pertes en vitamines et minéraux, pertes dues à la chaleur, à la lumière, à l’oxydation, à la dilution dans le milieu de cuisson ou de trempage. C’est pourquoi il faut consommer des végétaux cuits mais aussi beaucoup de végétaux crus, plus riches en vitamines et minéraux, mais moins bien absorbés au moment de la digestion.

L’effet bénéfique sur la santé des fruits est légumes est aussi fonction de la quantité ingérée quotidiennement et on recommande d’en consommer environ 500 g, sous différentes formes (crus, cuits, en compote, en jus) et à tous les repas, y compris le petit déjeuner.

Dr Thibault Layat

grainesgermees












Avez-vous déjà goûté aux graines germées ?
C'est un moyen simple et économique de s'alimenter. De plus, c'est une nourriture de grande qualité nutritionnelle.

Tout d’abord, il faut choisir des graines de bonne qualité, qui n'ont subi aucun traitement chimique tant pendant la culture qu'après la récolte et,  pour ne pas se tromper,  mieux vaut utiliser des graines provenant de l'agriculture biologique. Il est aussi important qu'elles aient été bien stockées et qu'elles ne soient pas trop anciennes (2ans maximum).

Pourquoi consommer des graines germées ?

Yolande Buyse, dans son livre Forme et Jeunesse à tout âge aux Editons Naturazur Vie et Action, écrit : "les graines germées représentent pour l'homme une de ses meilleures nourriture: alimentation vivante, qualité, coût très bas, stockage et conservation aisés, rapidité de préparation, régal du palais, des yeux et du nez, digestion rapide et facile."

Quelles sont les graines que l'on peut faire germer ?

Un grand nombre de graines peuvent être consommées de cette façon. Eviter les graines qui mettent beaucoup de temps à germer comme le persil.

Vous pouvez donc faire germer :

  • Les légumineuses ou papilionacées: azukis (petit haricot rouge), haricots (sauf les verts), fénugrec, alfalfa ou luzerne, lentilles, petits pois, pois chiches, soja, trèfle

  • Les céréales: avoine, blé, épeautre, maïs, millet, orge, riz, sarrasin, seigle, kamut (sorte de blé), quinoa

  • Les oléagineux: sésame, tournesol

  • Les ombellifères: carotte, céleri branche, céleri rave, fenouil

  • Les mucilagineux: cresson, lin

  • Les crucifères : moutarde, radis, navet, différents choux.

http://www.naturosante.com/rubriques/conseils/conseil.php?25

Légumes secs

Il y a quelques années, nous consommions peu de légumes secs en France, mais ils sont en train de revenir sur le devant de la scène. Qui s’en plaindrait ? Ils sont excellents pour la santé et très économiques. Il existe une multitude de légumes secs. Citons par exemple les fèves séchées très utilisées au moyen orient pour fabriquer les falafels, les pois chiches, star du houmous, les haricots noirs, indissociables de la cuisine brésilienne, les cornilles, appelés également « black eyed bean » en raison de leur drôle de petit œil noir, sont fréquemment utilisés dans la cuisine portugaise. En France, les plus connus sont les lentilles, les pois cassés ou les haricots blancs comme les lingots, les mogettes de Vendée ou les tarbais. Pour bien les réussir, vous devrez en général les tremper toute une nuit dans l’eau froide. Pour la cuisson, recouvrez toujours vos légumes secs d’eau froide non salée car le sel les rendrait trop durs et ajoutez des feuilles de laurier, de l’ail et des oignons. Une fois cuits, ils sont excellents en purée, en soupe, en légume d’accompagnement et en salade.
Certains légumes secs existent en boites, déjà cuits, ce qui vous fera gagner du temps.
Dossier réalisé par Pascale Weeks.


Je tiens cependant à attirer votre attention , sur le faite que dans la grande distribution les légumes sont très souvent irradiés , d'où l'intéret d'être vigilant durant vos achats ( bien qu'il y est une loi obligeant les étiquetages celle-ci  n'est pas vraiment respectée ...

Aliments irradiés : le grand secret

Si un aliment irradié n'a plus de vie, à quoi peut-il servir ? La ionisation alimentaire
est une escroquerie scientifique, un remède préventif pire que le mal …

Irradiation, ionisation, c'est quoi ?


Irradier, veut dire soumettre à un rayonnement radioactif de type bêta (provenant de particules), ou de type gamma (cobalt 60) l'autre terme (plus discret) est l'ionisation.

L'irradiation au cobalt 60, émet des rayons gamma qui irradient alors, à quarante kilograys (KGy), des palettes entières d'aliments convoyés en boucle sur tapis roulants.

L'irradiation au césium 137, parce qu'il n'a pas besoin d'un couvercle d'eau, est d'un usage beaucoup plus pratique. Intégré dans une mini-centrale nucléaire mobile, il est transporté en camion, d'une usine à l'autre, au gré des contrats, en revanche il est beaucoup plus instable.

A quoi sert l'irradiation ?


L'irradiation est utilisée pour retarder le mûrissement des fruits, pour empêcher les légumes de germer, pour tuer des bactéries responsables du pourrissement ou pour se débarrasser d'insectes sur les aliments. Il y a actuellement une forte pression internationale de la part de l'industrie de l'irradiation et d' autres organisations (comme l'OMS !) pour généraliser son l'utilisation.


Qui utilise l'irradiation ?


Actuellement, cinq pays de l'Union européenne autorisent l'irradiation ou (ionisation) d'autres aliments : la Belgique (8), la France (16), la Hollande (8), l'Italie (3) et le Royaume-Unis (10).

Pour voir la liste des aliments concernés :
Ionisés : la liste secrète !

Jusqu'à présent, la pression de l'opinion publique a été forte pour s'opposer à l'ionisation des aliments. Ainsi, selon les organisations de consommateurs, cette technologie n'offre pas de réels bénéfices aux consommateurs, ce serait même plutôt le contraire et pourrait tromper ceux-ci sur la fraîcheur réelle des produits !


Les dangers liés à << l'irradiation >> des aliments


L'irradiation des aliments dégrade la qualité de ceux-ci notamment en détruisant les vitamines qu'ils contiennent et en faisant apparaître de nouveaux composés chimique dont certains sont cancérigènes. Malheureusement, voici une raison de plus pour manger naturel (Bio).

Ainsi l'ionisation peut détruire jusqu'à 80% de la vitamine A des œufs et 48% du Béta carotène du jus d' orange ! (1) De plus l'ionisation des aliments peut faire apparaître dans ceux-ci des composés appelés cyclobutanones, qui sont des promoteurs du développement de cancers et causent des dommages génétiques chez le rat.

Chez l'homme on sait qu'il créent des dommages aux cellules et aux gènes (cytotoxicité et géno-toxicité) (2). D'autres composés tels les radicaux libres ou le benzène, le toluène … apparaissent lors de l'ionisation d'aliments (ces composés sont connus pour favoriser l'apparition de cancers, maladies cardio-vasculaires, …).

Une riche littérature scientifique illustre ces dangers (3). Pourtant la Commission européenne ou l'OMS (organisation mondiale de la santé) refusent toujours de prendre en compte ces dangers mis en évidence par ces études scientifiques. Pourquoi ?

(1) FDA Memorandum, from Kim Morehouse, Ph.D. to William Trotter. April 11, 2000. Voir aussi : Diehl J.F. " Combined effects of irradiaton, storage and cooking on the vitamin E and vitamin B1 level of foods." Presented at the 33 rd Annual Meeting of American Institute of Nutrition, 1969.

(2) Delincée, H. and Pool-zobel,B. " Genotoxic properties of 2-dodecylcyclobutanone, a compound formed on irradiatio of food containing fat." Radiation Physics and Chemstry, 52:39-42, 1998. (Co-sponsored by the International Consultative Group on Food Irradiation.)

(3) Un document de 6 pages réalisé par l'ONG américaine " Public Citizen " est disponible auprès du MDRGF sur simple demande par email à : courrier@mdrgf.org

http://www.bioweight.com/irradier.html

16 février 2006

L'asso a son site !

"réVéGez-vous !" Est le nom de l'association que nous avons crée sur Rennes !

Désormais elle a son propre espace perso :

banni_re_r_v_gez_vous

Elle a aussi sont forum icon_mini_forum

16 février 2006

Vidéo a regarder avant de lire la suite !

http://www.ark-tv.org/index.php?pid=107 

Cliquez sur ce lien et visionnez la première vidéo avec intéret ! ( cette vidéo ne comporte pas de scènes pouvent heurter )

Santé et maladies ... ... les dangers des produits laitiers.

De nombreux mythes entourent le lait :

«Sans lait, on manque de calcium»
«Chaque enfant a besoin de lait (de vache)»
«Le lait est sain» etc.

Mais en examinant la question de plus près, on constate que cela ne correspond pas à la réalité. Il s’agit en fait de solides préjugés qui sont le résultat de la publicité massive que l’industrie du lait propage dans le public depuis plusieurs décennies.

Lorsqu’on sait que 3’900’000’000 kg (=3,9 millions de tonnes 1998) de lait sont produits chaque année en Suisse, on comprend mieux les efforts du lobby laitier pour promouvoir leur produits.

Peu importe si le lait est sain ou non, il doit être consommé (et subventionné!).

Cette page ne présente pas de découvertes nouvelles, mais offre un aperçu des faits connus depuis de nombreuses années, qui sont soigneusement cachés par la publicité. lapereaux doublent leur poids en 6 jours.

-Le lait de chat contient 7% de protéines, les chatons doublent leur poids en 9 jours.
- Le lait de vache contient 3,3% de protéines, le veau double son poids en 47 jours.

Concernant l’homme, son lait ne contient que 1,2% de protéines et le bébé met 180 jours pour doubler son poids.

1- Après quelques années, le veau atteint un poids de plusieurs centaines de kilos.

Quelle mère attendrait un tel résultat pour son enfant?

Article extrait de la revue Nexus

Cela fait quelque temps que nous sommes préoccupés par les dangers pour la santé que présente la consommation de lait et de produits laitiers.

Dans "Nouvelles du monde" du dernier numéro [en anglais], nous avons publié un article sur les risques de cancer dû à la consommation de lait traité à la STB (somatotrophine bovine).

Nous avions également présenté le livre de Robert Cohen : Le Lait : poison mortel.

Pour l'article qui suit, nous avons sélectionné des questions et commentaires tirés du site internet questions- réponses de Robert Cohen "l'homme antilait". Mais faites attention : après avoir lu ceci il se peut fort bien que vous ne buviez plus jamais de lait !

– l'éditeur. Lettre 85 : David Weber, Oklahoma Je suis devenu diabétique à l'âge de vingt-cinq ans.
La littérature sur le diabète fait parfois référence à un lien possible entre l'absorption de lait de vache et le diabète. Mais bien sûr, les médecins s'occupent de traiter la maladie et ne s'intéressent pas à l'alimentation.

Si vous faisiez des tests cliniques pour prouver que le lait de vache cause le diabète et que vous stoppiez le développement de cette maladie, on vous décernerait le prix Nobel.

Les commentaires de L'HOMME antilait : Une étude faite à l'université d'Helsinki (Virtanen et Aro : "Les facteurs alimentaires dans l'étiologie du diabète", Ann. Med. 26(6):469- 478, déc. 1994), a révélé que l'introduction de lait de vache dans l'alimentation de bébés de trois mois ou même plus jeunes avait souvent pour effet une totale insuffisance en insuline.

Cette pathologie apparaissait parce que les cellules bêta, produites naturellement, étaient détruites par la réaction allergique du nourrisson – réaction créée en réponse à la présence de protéines du lait de vache.

Des scientifiques italiens ont noté des effets similaires lors de l'analyse de données concernant les enfants diabétiques.

Leur conclusion montrait une relation absolue de cause à effet entre la consommation de lait et le diabète, (Fava et al., "relation entre la consommation de produits laitiers et l'apparition du diabète mellite insulino-dépendant ("IDDM") chez l'enfant en Italie", Diabetes Care [traitement du diabète] 17(12):1488-90, déc. 1994).

Des chercheurs de l'université du Colorado ont publié un article dans le Journal des recherches en endocrinologie où ils indiquaient qu'une peptide d'albumine bovine était un déclencheur du diabète mellite insulino-dépendant (Norris et Pietropaolo, J. Endocrin. Invest. 17(7):1488- 1490, juillet-août 1994).

Lors d'une expérience très contrôlée faite sur des rats par des scientifiques canadiens, il a été noté que la consommation précoce de lait de vache était liée à l'apparition du diabète.

Des savants ont fait ce lien entre la consommation précoce de protéines bovines et l'incidence de diabète à la fois chez les rongeurs et chez les humains.

Leurs travaux furent publiés dans le numéro de février 1994 du Journal of Immunology (Journal sur l'immunologie)

Les études ci-dessus sont des exemples de recherches que l'industrie laitière préfère que vous ne lisiez pas.

Plus vous acquérez de savoir et moins vous êtes ignorant.

L'ignorance n'apporte pas la félicité.
L'ignorance peut être sacrément malsaine !
Armé de telles connaissances, est-ce que vous donneriez du lait de vache à votre enfant ?

Si on tient compte du fait que les protéines bovines créent une réaction dans l'organisme (celui-ci fabrique des anticorps détruisant les cellules bêta qui produisent de l'insuline), pensez-vous qu'il est sage de boire des sécrétions contenant des hormones issues d'une créature d'une autre espèce ?

Les hormones agissent.

Si vous choisissez de croire la F.D.A. (Food and Drug Administration : bureau américain de la nourriture et des médicaments) qui nous assure que les hormones dans le lait n'ont pas d'effet, vous jouez avec un fusil chargé et puissant.

Si vous préférez réexaminer. Lettre 115 : Roy Oestensen, Norvège, 16 janvier 1998.

J'ai vraiment été impressionné par cette page d'informations, et bien que j'aie déjà entendu certains de ces arguments auparavant (et de ce fait j’ai été sceptique vis-à-vis du lait durant des années), nombre de données étaient nouvelles pour moi.

En Norvège il y a eu très peu de commentaires sur les dangers du lait.

Comme vous le savez peut-être, les Scandinaves sont parmi les plus grands buveurs de lait sur la planète et c'est chez eux que l'on trouve certains taux les plus élevés de diabète et d'ostéoporose.

Par exemple, il y a quelques jours, un journal d'informations parlait de la très nette différence dans les taux de diabète entre les quartiers Est et Ouest d'Oslo, capitale de la Norvège.

Il apparaît que le diabète est quasiment inexistant à l'est, qui est la zone la plus pauvre, peuplée d’immigrants pour une grande part.

Des scientifiques signalèrent une corrélation dans leurs données avec le taux d'infections infantiles comme une explication possible.

Paraît-il qu’un enfant qui aurait beaucoup d'infections serait plus tard protégé contre le diabète !

Je ne sais pas s'il y a réellement un raisonnement médical derrière tout ceci mais je les soupçonne de n'avoir même pas pris en compte le fait, bien connu, que le Norvégien moyen boit 10 fois plus de lait que l’immigrant moyen.

Les commentaires de L'HOMME ANTILAIT : Pour votre intérêt, j'ai eu une conversation avec une nutritionniste française hier.

Elle prétendait que les Français, qui mangent beaucoup de fromage et boivent beaucoup de lait, sont encore le peuple qui jouit de la meilleure santé sur la planète.

Eh bien, je lui ai répondu qu'en 1994, 16,49 femmes américaines sur 100 000 étaient mortes d'un cancer du sein.

La même année, le chiffre était plus élevé pour la France. Les Français mangent plus de fromage et boivent plus de lait que les Américains, et 17,79 femmes sur 100 000 sont mortes d'un cancer du sein.

Maintenant, les très mauvaises nouvelles : le peuple de Norvège boit encore plus de lait que les Français.

Prêt pour le taux de cancer du sein ? Il est de 17,98 femmes pour 100 000 !

Cela pourrait être pire : les Pays-Bas ont un taux de 22,13 morts par le cancer du sein sur 100 000.

Souvenons-nous de la Laitière hollandaise (qu'elle repose en paix) lorsque nous apprenons la vérité sur les hormones du lait. lettre 160 : Paul M. Fleiss, médecin, MPH, 21 février 1998

La pasteurisation et l'homogénéisation altèrent de manière significative la composition, la digestibilité et la disponibilité biologique du lait.

Je vous suggère de tenir compte du fait que le Lait cru certifié, que produit la Laiterie naturelle Steve, en Californie, est un produit très différent de ce dont vous parlez.

Tous les laits ne sont pas les mêmes !

Les commentaires de l'HOMME ANTILAIT : Cher Docteur, beaucoup de gens ignorent que le lait est souvent pasteurisé deux ou trois fois avant de pétiller et crépiter dans leurs céréales.

Pourquoi les conditionneurs doivent-ils répéter leur procédé de pasteurisation s'il fonctionne si bien ? Réponse ?

Permettez-moi de révéler ce qui devrait être l'évidence même : la pasteurisation est inefficace !

Lorsque des conditions telles que le traitement par la chaleur ne conviennent pas aux petites bêtes (les bacilles, Clostridium, etc.), elles se protègent en formant des spores qui les protègent de l'ébouillantage, des antibiotiques et des germicides.

Lorsque le lait refroidit et que les conditions sont favorables à leur croissance, ces bactéries retrouvent leur état d'origine.

La plupart des consommateurs sont dupés par la propagande de l'industrie laitière et font confiance au mythe de la pasteurisation comme garant de leur santé. Ces mêmes consommateurs devraient user de leur odorat après seulement une semaine de réfrigération.

Il y a quelque chose de pourri dans ce récipient.

Les odeurs nauséabondes sont dues aux toxines sécrétées dans le lait par les cultures de micro-organismes qui continuent à se développer.

Pour que l'on puisse boire du lait sans risque il doit provenir d'animaux propres et sans maladie. Malheureusement, la majeure partie du lait américain contient les virus de la leucémie, de la tuberculose et selon Virgil Hulse, médecin, le virus immunodéficitaire bovin.

Le docteur Hulse a été inspecteur laitier et est un des experts les plus réputés en Amérique sur ce sujet.

J'ai commencé à m'intéresser au lait il y a environ quatre ans.

Je ne voulais pas que mes enfants absorbent des overdoses de ces puissantes hormones de croissance non détruites par la pasteurisation.

J'ai, depuis, appris que la pasteurisation ne détruit pas non plus d'autres substances dangereuses.

S'il vous plaît, renseignez-vous sur la "paratuberculose". Les vaches ont des troubles intestinaux dûs à la paratuberculose, une mycobactérie qui résiste à la chaleur.

Les vaches attrapent la maladie de Johne par ce micro-organisme, et les humains attrapent ce problème intestinal en buvant du lait de vache.

Il y a un lien certain entre la maladie de Crohn chez l'homme et la consommation de lait Robert Cohen "l'homme antilait".

LE LAIT, BON POUR LES ENFANTS … VRAIMENT?

Publié à l’origine dans le Bulletin de l’A.I.C.P Mars/Avril 1998 Le lait … bon pour les enfants ! Vraiment ? Selon Robert Cohen, auteur du livre "Le Lait : Poison Mortel",

le lait est la cause d’allergies,

de coliques,

de colite,

d’otites,

de rhumes et de congestions chez les jeunes enfants.

Une recherche récente du site Internet NOT MILK (en anglais) nous fait ouvrir les yeux.

Chaque gorgée de lait nous apporte

des hormones de croissances,

des acides gras,

du cholestérol,

des protéines allergéniques,

du sang,

du pus,

des bactéries,

des virus et bien plus !

Par le passé, la FDA (Food and Drug Administration) ne permettait qu’une petite quantité d’antibiotiques dans le lait.

Les chercheurs du FDA reconnaissent que les consommateurs ne devraient pas boire de liquide qui contient des antibiotiques.

Cependant, en 1990, les résidus d’antibiotiques dans le lait standard ont augmenté de 100 fois.

Aujourd’hui, les paysans peuvent injecter leurs animaux avec des niveaux de plus en plus élevés d’antibiotiques.

En plus de cela, 60% des vaches productrices de lait aux Etat-Unis ont le virus de la leucémie.

Le lait contient une concentration élevée d’hormones telles que:

l’hormone hypophysaire,

les hormones stéroïdes,

les hormones hypothalamiques

et les hormones thyroïdes

et parathyroïdes.

Lorsque nous buvons du lait, nous consommons la plus puissante des hormones de croissance produites naturellement dans notre corps.

Cette hormone s’appelle le IGF-1 (Insulin-like Growth Factor-1 ou Facteur de Croissance de type Insuline-1). Cette hormone est identique chez les vaches et chez les humains.

La recherche scientifique indique que les protéines du lait détruisent les cellules bêta productrice d’insuline du pancréas, causant ainsi le diabète.

Les effets secondaires effrayants de la consommation de lait ne sont pas limités aux enfants. 25 millions de femmes Américaines de plus de 40 ans ont été diagnostiquées comme souffrant d’arthrose et d’ostéoporose.

Selon le Département de l’Agriculture des Etats-Unis (USDA), en 1994, l’Américain moyen mangeait 266 kilos (586 pounds) de lait et de produits laitiers.

Ces femmes ont bu en trop 0.9 kilo de lait par jour pendant toute leur vie adulte.

Cependant, le calcium dans le lait n’est pas absorbé de manière appropriée et la consommation de lait est un suspect sur la liste des causes de l’ostéoporose.

Encore plus effrayant est le fait que le lait est considéré comme l’un des responsables de la raison pour laquelle une femme Américaine sur six va développer un cancer du sein.

Pour plus d’information sur le lait que nous buvons, veuillez consulter le site Internet " NOT MILK " de Robert Cohen à www.notmilk.com ou acheter le livre "Le Lait : le Poison Mortel" par Robert Cohen Le lait Outre les inconvénients reconnus de tous, lait et produits laitiers, semblent être mis à l'index par la plus récentes découvertes scientifiques, démontrant que l'adoption d'une alimentation à base de lait de vache est certainement cause d'un véritable traumatisme organique chez le bébé, suivi d'une période de troubles pathologiques plus ou moins importants, et pour finir, d'une apparente adaptation qui cache, en fait, nombreux déséquilibres fonctionnels qui perdureront la vie durant.

Chez l'adolescent et l'adulte, naturellement le dommage n'est pas si dramatique, mais existe néanmoins encore sous forme de déminéralisation, d'inflammations ou d'encrassements tissulaires pouvant conduire à de simples indurations... ou à certains cancers! Concrètement, diverses recherches menées dans des pays sur-consommateurs de produits laitiers, comme la Suisse, la France ou les Etats-Unis, par rapport à des pays sous-consommateurs, ont effectivement révélé des taux plus élevés de cancers.

Indigeste Le lait de vache à l'état brut présente parmi nombre d'inconvénients connus et reconnu et sus depuis longtemps, son indéniable manque de digestibilité.

En effet l'estomac humain adulte ne contient pas la présure qui, dans l'estomac du veau, permet de cailler le lait, il faut donc fabriquer de la lactase en grande quantité pour qu'il puisse être digéré.

Tant que ce n'est pas le cas, le processus de la digestion reste bloqué et les fermentations et autres débuts de putréfaction se déclenchent.

C'est pourquoi on préfère bien souvent transformer le lait en yaourt ou en fromage: formes prédigérés.

Mais l'énorme quantité de lipides animaux contenus dans la plupart des fromages les rendent encore assez indigestes à tous ceux dont le système hépato-biliaire n'est pas au mieux de sa forme!

Cet inconvénient même s'il est partagé avec les viandes grasses et charcuteries, n'en est pas moins réel; le mélange pain et fromage gras est donc délicat.

De plus, lorsque le lait ou le produit laitier ne proviennent pas de l'agriculture biologique, ils s'avèrent des plus toxiques, car tous les pesticides, insecticides, et antibiotiques se concentrent dans les cellules lipidiques fabriquées par la vache.

De sorte que le lait entier et les fromages gras non bio contiennent des proportions infiniment plus importantes de polluants que n'importe quel végétal traité chimiquement..

Enfin, le lait et les produits laitiers comptent parmi les aliments les plus allergènes et les troubles digestifs suscités par ces intolérances sont aussi nombreux qu'insidieux. Le lait déminéralisant et...

Les protéines d'un lait quel qu'il soit transmettent une information, spécifique à l'espèce, qui permettra l'élaboration de l'osséine, autrement dit la capacité des os à retenir les minéraux.

Or, là encore, il est bien évident que l'information délivrée par les protéines du lait de vache est totalement inadaptée à l'homme.

Par conséquent l'organisme d'un bébé privé de lait humain et consommant du lait de vache ne disposera pas de l'information correcte pour fabriquer son osseine ... et ne pourra donc pas se minéraliser convenablement.

Enfant, puis adulte, il éliminera de manière excessive, par manque d'osséine, les sels minéraux contenus dans le sang, et les déposera dans les tissus, devenant ainsi sujet aux calculs, kystes et autres indurations.

De plus le pouvoir minéralisant du lait est complètement surfait, en raison essentiellement de la qualité des laits commercialisés –hors circuit AB; qu'ils soient pasteurisés, stérilisés, UHT, ils sont dévitalisés et leurs minéraux sont devenus pratiquement inutisables pour les métabolisme. ...perturbateur de la fonction hormonale

La présence d'hormones spécifiquement bovines, porteuses d'informations (prise de poids rapide) inadaptées à la lente croissance humaine, est perturbatrice, de fait, des fonctions hormonales du bébé, contrôlées par son hypophyse.

Et, comme il s'agit d'information, la quantité de lait absorbée ne joue qu'un rôle secondaire; même de très petites quantités délivrent le message.

Lait décalcifiant !

Le lait, tant recommandé aux enfants pour son sacro-saint apport en calcium, n'est pas un aliment spécifique de l'être humain.

En effet, en ce qui concerne le calcium, il semblerait que celui contenu dans le lait de vache ne puisse être correctement assimilé par l'être humain.

La trop grande richesse en calcium du lait de vache le rend dangereux, car outre les indurations qu'elle entraîne, par manque d'osséine, elle inhibe presque totalement l'action du magnésium, affaiblissant ainsi les cellules nerveuses et musculaires.

Enfin, le lait de vache est également trop riche en phosphore, et pour cette raison, peut être responsable d'une relative hyper-parathyroïdie.

Allaitement contre biberon

Le seul lait qui convienne à l'enfant est celui de sa mère, car il correspond à son hérédité, son sexe, sa physiologie. La composition des laits étant différentes, c'est une erreur grave que de donner au nourrisson un lait qui ne lui est pas destiné.

En outre, la mère se souviendra que tous les poisons exogènes (nicotine, caféine, alcool, additifs chimiques, etc..) passent dans son lait.

En refusant la chaleur et le magnétisme corporel indispensable à son enfant, la mère qui choisit de ne pas allaiter, augmente largement ses propres risques de tumeur (sein, organes génitaux) car procréation, grossesse, allaitement sont les 3 maillons d'une même chaîne naturelle et synergique.

Surtout pas pour les bébés !!!

Bien d'autres reproches sont encore faits au lait de vache, parmi lesquels, bien sûr, sa surabondance d'acides gras saturés, d'acide lactique et d'oestrogènes, ainsi que sa pauvreté en lactose : surabondance d'acides gras Comparé au lait maternel qui contient essentiellement des acides gras poly-insaturés, le lait de vache fatigue fortement le foie du nourrisson –et de l'adulte- à cause de ses grosses molécules lipidiques et n'apporte pas non plus au cerveau la qualité de graisses permettant son développement, beaucoup plus rapide et important que chez les bovidés.

Présents dans le lait maternel, 2 acides gras, l'acide docosahenoïque (DHA) et l'acide arachidonique (AA) jouent un rôle critique dans le développement mental de l'enfant.

Une équipe de recherche de l'Université Rockefeller (New York) vient de quantifier cette implication.

Dans un essai clinique aléatoire et en double aveugle, les enfants de 18 mois, ayant reçu une formulation spéciale de ces 2 nutriments, très proche de la forme trouvée dans le lait maternel, montrent en moyenne une augmentation de 7 points de l'index de développement mental de l'échelle de Bayley par rapport aux enfants qui ne les ont pas eus.

Une preuve de plus de la richesse du lait maternel.

Les acides gras utilisés dans cette étude provenaient d'une source végétale. (Developmental Medecine and Child Neurology).

Excès d’acide lactique:

L'excès d'acide lactique, pour sa part, peut devenir rapidement toxique, et entrainer la prolifération des cellules tumorales. et d'oestrogenes

Quant aux substances oestrogéniques, on sait qu'elles favorisent la baisse de la fertilité masculine et les cancers des organes génitaux; mais il est vrai que le lait n'est pas le seul aliment à en contenir des taux excessifs.

Pauvreté en lactose :

Enfin, la pauvreté en lactose du lait de vache, comparé au lait humain, est très probablement responsable d'un déséquilibre de la flore intestinale et d'une chute importante de la protection contre les germes pathogènes, chez le bébé.

En fait les protéines du lactosérum humain contiennent de nombreux anticorps absolument indispensables au nourrisson, puisque celui-ci n'a encore développé aucune immunité au niveau intestinal.

Privé de lait maternel, l'enfant est donc déjà en grand danger; mais nourri au lait de vache il est de plus, exposé à la prolifération de toutes sortes de parasites. Néanmoins, le lait garde sa place dans l'armoire à pharmacie car il reste aussi un extraordinaire contrepoison, dont diverses études ont notamment montré qu'il pouvait efficacement lutter contre le saturnisme, cette intoxication au plomb si fréquente dans les villes polluées.

Consommation de lait et santé:

Le lait et les produits laitiers sont à l’origine de problèmes de santé très sérieux.

Ils constituent la principale cause d’allergies alimentaires. Malgré cela, l’industrie laitière qui grâce au lait bâtit des fortunes sur le dos des animaux continue de faire croire que le lait est une nourriture indispensable pour l’être humain.

Si tel était le cas, toutes les personnes qui se nourrissent uniquement d’aliments végétaux (végétaliens) devraient être depuis longtemps malades.

Etonnament, elles sont souvent en meilleure santé que celles qui consomment des produits animaux.

Le Professeur Dr. Claus Leitzmann, spécialiste des sciences de la nutrition à l’Université Justus-Lie-big à Giessen, a déclaré à ce sujet: «Des études sur la nutrition, menées dans de nombreux pays, mais également par nous, ont montré que les végétaliens sont généralement en meilleure santé que les autres.

Leurs valeurs concernant le poids, la pression artérielle, le taux de graisse

Effets constatés Je ne suis pas médecin et il n'y a pas ici de diagnostique ou de prescription.

Le lait animal et ses dérivés (l&d) n'ont pas leur place dans nos estomacs.

Ils contiennent des molécules qui perturbent notre métabolisme.

Liste des troubles qui peuvent être occasionnés ou accrus par le lait et ses dérivés (l&d):

(en tout ou en partie, directement ou indirectement)

Acnée
Asthme
Eczéma
Points noirs
Boutons
Peau et cheveux gras
Toux Glaires
Nez bouché
Nez qui coule
Sinusites
Otites
Ostéoporose
Jambes sans repos
Mauvaises odeurs corporelles
Douleurs aux articulations (Polyarthrite...)
Douleurs des règles
Maladies cardiovasculaires
Cancer du sein
Cancer de la prostate
Maladies auto-immunes

(Liste non exhaustive)

Pour vérifier si ces troubles ont un lien avec le lait et dérivés (l&d), il suffit de les supprimer de notre alimentation pendant quelques semaines ou quelques mois, puis de les réintroduire pour vérifier le test de suppression..

En finir avec le productivisme laitier extrait d'un article de Gérard Le Puill Vache folle.

Bien que le mal soit venu de Grande-Bretagne, les producteurs de lait hexagonaux gagneraient à s'interroger davantage sur la bonne manière de conduire les troupeaux.

Simple à mettre en ouvre et économe en main-d'œuvre, l'alimentation des vaches en ray-grass, maïs ensilé et tourteaux de soja est polluante et coûteuse mais nullement indispensable pour assurer un bon revenu aux éleveurs.

Décryptage.

L'interdiction des farines carnées dans l'alimentation des non ruminants et leur remplacement par des protéines végétales va indiscutablement poser des problèmes de compétitivité aux éleveurs de porcs et de volailles en raison du coût plus élevé des tourteaux de soja et autres ingrédients végétaux.

En théorie, ce changement ne modifie pas la donne pour les éleveurs de bovins et plus particulièrement des producteurs de lait.

Les troupeaux laitiers sont de gros consommateurs de tourteaux de soja depuis l'interdiction des farines carnées dans l'alimentation des ruminants en 1990.

En pratique - en raison même de la crise de la vache folle et des conséquences qu'il conviendrait d'en tirer - le moment est pourtant venu de remettre en question la conduite des élevages laitiers, d'examiner lucidement les excès passés et présents, les travers et les dégâts écologiques d'un système productiviste dont l'efficacité économique n'est nullement démontrée par rapport à des conduites de troupeaux bien plus respectueuses du confort de l'animal, de la propreté des sols et de qualité des eaux dans une logique d'agriculture durable et soutenable.

Le calvaire des vaches à lait :

Du lait jusqu'à sont dernier souffle!

Grossesses permanentes.

Le veau va être enlevé à sa mère quelques jours seulement après sa naissance, et parfois immédiatement, souvent la vache pleure cherchant après son veau, pareil pour le pauvre petit veau!

Les veaux les plus faibles seront abattus immédiatement pour fournir de la viande pour animaux, farine animale, et autres aliments ; ou pour extraire la présure, qui provient de l’estomac, utilisée pour fabriquer presque tous les fromages

Certaines femelles seront nourries de substituts de lait et subiront un développement forcé pour devenir à leur tour vaches laitières, et entreront à 18-24 mois dans le cycle des grossesses continuelles.

Ceux destinés à produire de la viande de bœuf, sont envoyés dès l’âge de 2 semaines dans des unités d’engraissement intensif où ils seront gavés principalement de céréales jusqu’à l’obésité et maintenus à l’étroit pour éviter la moindre perte de poids

Les caisses à veaux françaises sont des espèces de boîtes en bois dans lesquelles les veaux sont enfermés - un par caisse - à l'âge d'une ou deux semaines.

Les parois de ces cases sont pleines, ce qui empêche chaque veau d'avoir des contacts avec les autres.

Le sol est fait de lattes de bois, donc les veaux ne peuvent pas se coucher dans une position normale.

Les veaux ne peuvent avoir d'exercice :

les caisses à veaux sont si étroites que, dès l'âge d'environ 2 semaines, ils sont dans l'impossibilité de se retourner.

Ils n'ont pas de paille sur laquelle ils puissent se coucher et n'ont ni herbe ni foin à manger.

Les veaux éprouvent des difficultés même pour se lever et se coucher.

Ces caisses à veaux sont généralement disposées en rangées.

Les veaux sont extraits de leurs caisses et sont emmenés à l'abattoir à l'âge de cinq mois environ. Quelques-uns seront sélectionnés pour devenir des taureaux reproducteurs, et passeront leur vie confinés dans l’isolement, fécondant des éprouvettes pour l’insémination artificielle.

Les taureaux âgés sont souvent castrés avant d’être enfermés et engraissés pour la boucherie.

Si la vache fournit continuellement du lait, c’est parce qu’elle est soumise à une grossesse chaque année.

Elle devra fournir jusqu’à 10000 litres de lait par an.

Son estomac d'herbivore, ne pouvant supporter les grandes quantités nécessaires pour un tel rendement, on augmente sa production en lui donnant également des pastilles concentrées de protéines de céréales (les farines d'os sont, depuis peu, interdites .. aux vaches seulement)La vache laitière sera poussée jusqu’à sa limite.

Quand, après 3 années de souffrance et d’exploitation (son espérance de vie normale est de 20 ans), son rendement baissera, elle sera immédiatement envoyée à l’abattoir: le boeuf de supermarché est de la vache 8 fois sur 10.

Les agriculteurs, nous dit-on, aiment leurs bêtes et sont particulièrement traumatisés par la suspicion dont ils font l'objet dans l'opinion publique depuis quelques semaines. On peut tout à fait comprendre ce traumatisme et considérer en même temps que la production laitière ne peut continuer ainsi sa course folle aux records via le dopage permanent de chaque vache.

Depuis 30 ans la sélection génétique de ces Formule 1 de la performance laitière a été tellement poussée quelles peuvent produire jusqu'à plus 12 000 litres de lait par an et par bête grâce à une surconsommation de fourrages énergétiques et de protéines issues des tourteaux de soja. Dans trop d'élevages, les tourteaux de soja sont aux vaches laitières ce que l'EPO est aux coureurs cyclistes.

La sélection génétique axée sur la performance laitière en a fait des ogresses dont on brûle les cornes dès leurs premiers mois de vie afin qu'elle ne puissent plus tard se labourer le cuir dans leurs bagarres quotidiennes pour la nourriture.

Ces bêtes vont souvent à la boucherie après quatre ou cinq lactations tant la performance laitière use les organismes.

Les vaches de réforme fournissent, de ce fait, 50 % des viandes bovines consommées par les français.

Si les laitières pouvaient parler, elles manifesteraient bruyamment pour exiger le droit au confort de l'animal. Elles beuglent d'ailleurs de souffrance quand la traite du matin ou du soir prend une heure de retard.

Les effets pervers du productivisme

Comme le quota laitier par exploitation ne change guère d'une année sur l'autre, l'éleveur utilise les progrès de la génétique pour produire autant avec moins de vaches. Dès lors, cette productivité accrue lui permet en retour d'accroître son cheptel sur une même superficie en élevant des bêtes à viande.

Dans le même temps, il se contente trop souvent de ne produire sur sa ferme que le ray-grass et le maïs d'ensilage qui fournissent seulement la partie énergétique de la ration alimentaire du bétail.

Dans cette logique, un troupeau plus nombreux suppose des achats accrus de soja importé pour équilibrer et compléter la ration alimentaire des animaux.

Toujours dans cette logique, les éleveurs laitiers forcent sur les engrais azotés dans les parcelles de ray-grass et augmentent les superficies consacrées au maïs d'ensilage pour la nourriture hivernale des troupeaux.

Nues en hiver, les terres à maïs voient les restes de nitrates et de pesticides entraînés vers les cours d'eau.
Peut-on continuer ainsi alors que les problèmes environnementaux s'aggravent d'année en année ?
Non!
Et surtout pas dans le Grand-Ouest de la France où la production laitière intensive voisine avec une production de porcs et de volailles hors sol en quantités souvent déraisonnables.

Et, comme par hasard, plus 80 % des cas de vache folle ont été répertoriés dans ce Grand-Ouest productiviste. Pourquoi refuser le lait Véhiculée par l'industrie laitière et visant à inciter les gens à consommer du lait, limage de vaches paissant tranquillement dans les près et se laissant traire avec joie cache en fait une bien sordide réalité

Il est évident que pour obtenir le lait on ne tue pas les vaches.

C'est pourquoi, au premier abord, consommer des produits laitiers ne semble impliquer aucune souffrance pour les animaux.

Hélas, c'est faire abstraction du fait que pour produire du lait, il est nécessaire qu'une vache mette bas, comme tout mammifère, et ce, une fois par an.

C'est là que les choses se compliquent :

Si on laisse le veau téter, la vache va contrôler et donc freiner la descente de lait, nuisant à sa productivité.
Le veau lui est donc retiré quelques jours seulement après sa naissance.
Avez-vous pensé au traumatisme que l'on inflige à la vache, dont on ne peut nier l'attachement à son enfant ?
Si c'est une femelle, elle ira rejoindre d'autres vaches laitières.
Sa première grossesse aura lieu à deux ans ; elle sera à nouveau fécondée trois mois après chaque vêlage (par insémination artificielle dans 65 à 75 % des cas) ; elle sera maintenue en lactation 7 mois minimum par an, et l'éleveur continuera à la traire même pendant sa grossesse.
Vous pouvez imaginer à quel point cela peut être exténuant pour son corps dont les besoins vitaux ne sont aucunement respectés.
D'ailleurs, ce productivisme intensif réduit son potentiel de vie (20 ans normalement) à 5 ans environ, âge auquel elle sera abattue pour cause de stérilité ou de mauvais rendement.
Saviez-vous que 70 % de la viande bovine provient des vaches laitières ?
Par contre, si c'est un mâle, son sort dépendra de la qualité de sa chair.
Si son « potentiel viande » est pauvre, il finira en pâtée pour chien et l'on utilisera une partie de son estomac, appelée présure, pour faire cailler le lait destiné aux fromages.

La quasi-totalité des fromages sur le marché contiennent donc de la chair animale.

Si l'on veut produire de la viande rouge, le veau sera envoyé dans des unités d'engraissement intensif où il sera gavé principalement de céréales et maintenu à l'étroit pour éviter la moindre perte de poids.

Sinon, il fera partie des 2 millions de veaux expédiés chaque années dans des élevages industriels où il sera confiné dans un boxe individuel qui le privera de tout contact avec ses congénères et l'empêchera même de s'allonger correctement.

Sachez que 90 % d'élevages sont en batterie contre 10 % en plein air.

Quoi qu'il en soit, quel qu'ait été le type d'élevage qu'ils auront subit, vaches et veaux finiront tous, sans exception, sous le hachoir du boucher.

L'industrie laitière est un fournisseur direct de l'industrie de la viande et ne peut donc en être dissociée.

A chaque fois que vous consommez des produits laitiers, vous envoyez des animaux à l'abattoir.

Pourquoi donc continuer à en consommer alors qu'il existe des substituts tels que le lait de soja, de riz ou d'amande (sous forme de crème de fromages) qui sont tout aussi bons et équilibrés que le lait de vache mais qui n'impliquent pas l'exploitation ni la mort de millions d'animaux ?

Et si vous craignez de manquer de calcium, sachez que la plupart des légumes verts, céréales complètes et même l'eau minérale en contiennent en grande quantité. Source : Peta PMAF La vache Folle et le lait De AVE (Association Végétalienne Espagnole)

L'exploitation de la vache:

La vache est un animal herbivore noble exploité pour sa chair, son lait et sa peau, dont le bien-être, comme celui du bœuf ou du taureau, ne cause pas de grandes préoccupations dans un pays principalement "tauricide".

Le bétail n'est pas une chose ou simplement une marchandise prédestinée à satisfaire les aberrantes habitudes alimentaires humaines, mais un animal sensible et pacifique qui mérite le plus grand respect.

Son espérance de vie de plus de vingt ans se voit cruellement tronquée et frustrée par une fin d'existence brève dans un abattoir lugubre, à l'âge de trois ou quatre ans.

La vache est débilitée et détruite par maintes maladies causées entre autres par les antibiotiques, les hormones et une alimentation insuffisante à ses besoins physiologiques et psychiques.

Forcée, à cause de la cruauté et de la cupidité humaines, de consommer de la nourriture contenant les restes hachés des cadavres infectés de ses congénères, la vache, devenue cannibale, n'est qu'une réflexion déformée et pathétique de sa vraie nature.

Statistiquement, l'Espagne est, après le Danemark, la plus grande consommatrice de viande par habitant de l'Europe. Néanmoins, moins de boeuf y est consommé (12,45 kg/hab./an), après le Portugal (16,4 kg) et très loin derrière la France (27,8 kg.) la plus grande consommatrice.

Dans l'Union Européenne il y a plus de 81 millions de vaches, desquelles on obtient huit millions de tonnes de viande par an, dont la consommation entraîne un grand nombre de maladies cardiovasculaires et infectieuses affligeant l'être humain.

On recense en Espagne un peu moins de 1.5 millions de vaches laitières, réparties en 150.000 exploitations laitières ou à viande.

Ces exploitations produisent quelque 6 millions de tonnes de lait, avec une moyenne de 10 vaches par exploitation, et un rendement individuel annuel de 4.200 kg (1.000 kg de plus qu'en 1984).

Les vaches appartiennent à la famille de ruminants appelés "bovins" dotés d'un système digestif très spécial les aidant à assimiler de grandes quantités de cellulose, mais les aliments et pâtures concentrés dont elles sont nourries frustrent leur instinct naturel.

Le cycle reproductif de la vache commence à l'âge de quinze mois et, avant même d'atteindre deux ans, commencent les douloureux vêlages qui se succéderont toute sa vie durant.

Après 9 mois de gestation (280 jours) un veau naît, et même s'il commence à brouter de l'herbe assez précocement, dans des conditions normales, il serait allaité pendant 6 mois par sa mère, qui ferait peu à peu croître l'intérêt de son petit pour la nourriture solide.

Ceci permettrait à la vache une période de repos de 4 mois avant la prochaine gestation.

Malheureusement dans la réalité les forts liens psychologiques entre la vache et son veau sont rompus 3 jours après la mise-bas, quand ils sont traumatiquement séparés, privant la mère de son petit et le veau de son aliment naturel.

La mère, qui tarde à récupérer de cette déchirure, passera systématiquement à la traite deux ou trois fois par jour, y compris pendant sa nouvelle période de gestation. Contrairement à ce qui se passe avec les moutons et les cochons, au lieu de provoquer la naissance de jumeaux chez les vaches, on a développé la transplantation d'embryons.

Les vaches de très haute qualité sont presque toujours inséminées artificiellement, puis lorsque l'embryon est encore petit on le transfert à une vache de valeur inférieure.

La vache originelle est de nouveau inséminée avant que ne soit terminée la période normale de gestation. Actuellement on injecte aux vaches une hormone qui provoque une superovulation (en comparaison avec la production normale d'ovules).

Généralement on extrait 6 embryons de chaque vache sur une période de 8 semaines, depuis l'âge de 15 mois. Encore une autre technique utilisée :
la division de l'embryon en laboratoire.
Les deux moitiés d'embryon sont implantées dans deux mères distinctes qui produiront des "jumeaux" identiques. Néanmoins, l'intérêt principal des éleveurs se concentre sur la fécondité.

Que la vache puisse donner naissance lorsqu'il convient aux intérêts, et continuer à produire du lait, après la période de 10 mois, avec une alimentation concentrée, suivi d'un repos de seulement 6 à 8 semaines avant le vélage suivant.

Certaines personnes croient encore que les vaches "donnent" du lait de la même manière que l'eau sort du robinet, ne comprenant pas que les vaches doivent donner naissance une fois par an pour pouvoir continuer à produire du lait.

Finalement, quand leur productivité baisse et qu'elles cessent d'être rentables, on les envoie, comme beaucoup d'autres animaux considérés comestibles, à l'abattoir pour transformer leurs dépouilles en hamburgers populaires et saucisson bon marché, dont la viande est susceptible de contenir le virus responsable de la Maladie de la Vache Folle.

Un autre article sur le lait :

LE LAIT DE VACHE, UN ALIMENT NON SPECIFIQUE A L’ HOMME

La glorieuse réputation du lait de vache comme boisson fortifiante et reminéralisante par son calcium est-elle justifiée ?

De nombreuses recherches ont d'abord conduit médecins, hygiénistes et chercheurs à soupçonner sa nocivité pour, aujourd'hui, l'affirmer et considérer le lait de vache comme un aliment non spécifique à l'homme. Cette idée heurte nos croyances.

Pourtant, Anne Laroche-Walter, naturopathe, ne manque pas d'arguments.

Comment et pourquoi le lait de vache est-il nocif pour la santé de l'être humain ?

Et jusqu'où cette nocivité peut-elle conduire ?

Existe-t-il des solutions de substitution ?

Comme les alcools, le tabac, le sucre blanc, les graisses cuites, le lait de vache est un produit nocif.

Nous consommons et abusons de tous ces produits, ne voyant pas au-delà de la satisfaction immédiate de nos besoins. Ne pouvant nous dégager de nos habitudes alimentaires, il nous est difficile de repenser notre assiette.

Nous avons perdu cet instinct profond, garant de notre équilibre et de notre intérêt vital.

Ainsi, nous nous sommes habitués progressivement à une alimentation carencée et non spécifique.

Après avoir accumulé de nombreuses informations scientifiques relevant du domaine de la santé et de la nutrition, et au travers de ma pratique d'hygiéniste nutritionniste, j'ai constaté les changements très bénéfiques survenus chez mes consultants, suite à l’abandon total de la consommation des produits laitiers. Ces résultats sont, pour moi, des preuves irréfutables.

Cet article, bien évidemment, ne concerne pas les rares tribus d’Afrique ou d'Amérique (Hunzas, Equatoriens, Caucasiens) qui subsistent encore dans le monde et vivent d'une manière naturelle.

Contrairement à nous, ils ne consomment que très peu de laitages, se nourrissent légèrement avec des aliments sains, sans adjonction de produits chimiques ni additifs.

Ils respirent un air pur, boivent une eau non polluée, et enfin ont une activité physique quotidienne, loin du stress et de l'activisme.

Ils entretiennent donc une vitalité et une endurance les rendant souvent centenaires.

Cet article s'adresse  à nous, victimes d'une surabondance et surconsommation alimentaire, propre à notre société sédentaire.

Vivre végétalien ! C'est penser à eux ...

http://www.pour-les-animaux.de/lait_danger.html 

16 février 2006

Union végétarienne

Les Animaux - Pourquoi on doit les respecter

de Maxwell G.Lee IVU Newsletter, Octobre 1995

http://www.ivu.org/french/news/95-96/animals.html 

Il est souvent proclamé, particulièrement par certains groupes religieux,
que les animaux furent mis sur Terre pour que les gens en disposent à leur gré.

Ce point de vue aide à comprendre l'étendue des abus de l'homme sur le royaume animal.

L'attitude envers les animaux de beaucoup de gens est assez similaire à celle adoptée à l'égard d' êtres considérés inférieurs.

L'esclavage, qui fut longtemps une façon établie et acceptée de traiter les autres dans les sociétés humaines, reflète l'attitude similaire adoptée à l'égard des animaux par beaucoup de gens dans la société contemporaine.

Le respect pour la vie est un slogan souvent cité aujourd'hui que chacun devrait méditer, et sur l'importance qu'il suggère non seulement le respect pour les autres hommes mais aussi pour toutes les formes de vie, animales ou végétales.

Tous ont leur place sur la Terre.

Nous devons vivre de quelque chose et il est souvent suggéré que nous devrions descendre le plus bas possible dans la chaîne alimentaire pour notre nourriture.

Les végétariens ont fait une part du chemin et les végétaliens et frugivores encore plus.

Les trois approches sont basées sur le respect de la vie et sur l'opinion que les animaux devraient être beaucoup mieux traités par les hommes.

La cruauté est virtuellement endémique dans la société humaine et on peut se demander ce qui fait que tant d'hommes recherchent et se réjouissent de la cruauté dans leur vie.

Les cruautés dans certains soi-disants "divertissements" appellent une attention particulière dans leur propre droit. Cependant, cet article est principalement orienté sur le végétarisme.

Certains ne considèrent pas cruel de manger les animaux et prétendent que ceux-ci sont bien traités pendant leur vie.

Bien entendu, ceci est devenu absolument faux avec le développement des méthodes d'élevage industriel et l'absence de toute considération pour le comportement naturel des animaux.

Si les veaux sont mis dans des boxes qui leur empêchent l'accès à leurs mères, le grand air, et les prairies vertes qui sont leur habitat naturel, ou si les poulets sont cloîtrés dans des systèmes intensifs leur ôtant la possibilité d'étirer leurs ailes et de garder leurs habitudes naturelles, ceci et beaucoup d'autres pratiques sont tous basés sur l'absence de considération et de respect pour les animaux.

Les arguments en faveur de ces pratiques sont économiques, bien que ceux qui exercent habituellement de telles cruautés prétendent que les animaux préfèrent de tels traitements.

Si de telles pratiques ne sont pas cruelles alors que sont-elles ?

Certains prétendent que les animaux ne choisissent pas de sortir de leur boxe même portes ouvertes, alors que c'est plus le résultat du conditionnement que d'un choix. Une chose est sûre, ce choix n'est pas donné aux animaux !

La société occidentale moderne a beaucoup de responsabilités en encourageant une alimentation basée sur la viande.

Malheureusement, certains pays du Tiers Monde regardent l'Occident comme un modèle séduisant !

Ils prêtent rarement attention au traitement des animaux et aux effets de la viande sur la santé et l'environnement. La pression de l'opinion publique dans beaucoup de pays en développement devrait être un argument suffisant pour stopper et abandonner une alimentation basée sur la viande.

La production animale dans les systèmes d'élevage intensif concentre les rejets animaux au lieu de les épandre sur les champs comme fumure.

Ce qui était vu autrefois comme souhaitable devient maintenant une nuisance et un problème économique. L'évacuation des déchets est coûteuse et le problème est étroitement lié à l'augmentation de la consommation de viande.

Les éleveurs rejettent les déchets dans les eaux d'égouts, les ruisseaux et les rivières, ce qui pollue et détruit les écosystèmes qui existaient depuis si longtemps.

De plus, la nature intensive de l'élevage industriel facilite la propagation des maladies, donc les animaux sont traités avec de grandes quantités d'antibiotiques, d'activateurs de croissance et d'autres produits similaires.

Bien entendu, ceux-ci se concentrent dans la viande et entraînent troubles et maladies chez l'homme.

De plus, certains de ces produits se retrouvent dans les eaux d'égout et sont repris un peu plus tard dans la chaîne des eaux où l'eau impure est repompée pour l'homme et la purification n'enlève pas la totalité de ces résidus. L'augmentation du cancer, des maladies cardio-vasculaires, des maladies rénales et du foie, aussi bien que le diabète et beaucoup d'autres problèmes de santé, sont liés de près à l'augmentation de la consommation de viande.

La recherche médicale fournit d'amples preuves qu'une alimentation végétarienne est meilleure pour la santé et que l'incidence de nombreusese maladies sérieuses est beaucoup moins commune chez les végétariens.

C'est bien de faire quelque chose pour des raisons morales mais c'est encore mieux si on découvre que c'est bien pour la santé aussi !

Le développement du végétarisme dans le monde occidental atteste de l'augmentation chez de nombreuses personnes du désir d'une vie plus humaine, d'un style de vie en harmonie avec l'environnement et la santé.

En Amérique du Nord, Amérique du Sud, Europe et Australie il y a une progression marquée et continue du végétarisme.

En Europe de l'Est et en Europe Centrale, depuis les changements politiques, il y a eu une poussée d'intérêt pour le végétarisme.

Les mouvements végétariens et de protection animale se sont développés et gagnent du soutien.

En Asie l'encouragement gouvernemental pour la consommation de viande est contré par des groupes végétariens.

Dans un pays comme l'Inde, avec une longue histoire d'Ahimsa, respect pour la vie donc végétarisme, la bataille pour le végétarisme est menée par des groupes moraux et religieux, aussi bien que par des environnementalistes et docteurs qui apprécient les bénéfices d'une approche végétarienne.

En Grande Bretagne la poussée du végétarisme a été très marquée durant ces 20 dernières années, ainsi maintenant les végétariens ne sont plus regardés comme des gens singuliers ou étranges mais faisant partie du courant actuel.

Des repas végétariens sont disponibles dans tout le pays et la jeunesse se dirige vers le végétarisme.

Les supermarchés étalent un bon assortiment de produits végétariens, rendant les courses plus faciles, et attirent l'attention des mangeurs de viande sur la grande variété d'aliments bons et sains que les végétariens consomment. Linda McCartney, épouse du fameux Beatle, Paul McCartney (les deux sont récemment devenus responsables de la Vegetarian Society du Royaume Uni), a élaboré une variété d'imitations de produits carnés, incluant tourtes et saucisses, qui attirent beaucoup de gens ne se considèrant pas eux-mêmes comme végétariens.

De telles initiatives sont de plus en plus imitées dans d'autres pays.

La technologie moderne a grandement à répondre de la façon dont l'homme traite les animaux.

Récemment, la montée de la biotechnologie et de la manipulation génétique a entraîné de nouvelles façons d'utiliser l'animal pour servir l'homme, et la moralité semble être peu considérée quand on pense de quelles façons les espèces peuvent être manipulées pour que l'homme les exploite encore plus.

Si les hommes ont des droits sur les animaux, on peut dire également qu'ils ont des responsabilités.

Cela veut dire qu'ils doivent considérer l'animal, son bien-être et sa santé.

Malheureusement, la situation présente suggère que ces pratiques sont peu courantes chez la grande majorité des gens.

Le seul but qui les intéresse est de maximiser le rapport économique de l'animal.

Il est souvent argumenté que les animaux étant des espèces différentes des humains, la façon de les traiter n'est pas importante. Bien entendu, les personnes qui expriment de telles vues pourraient également ne pas être trop concernées par la manière dont les autres sociétés humaines sont traitées.

Beaucoup d'entre nous peuvent voir une relation entre les deux.

Les gens qui traitent les autres humains avec respect sont plus susceptibles de montrer du respect envers les autres espèces.

Plus d'une fois on a entendu la suggestion que l'intérêt pour les animaux devrait être remplacé par l'intérêt pour les humains.

Les gens concernés par les droits de l'animal sont normalement autant concernés par les souffrances humaines.

Nous savons que les animaux ressentent la peine, la souffrance et montrent de la détresse. Nous ne pouvons comprendre complètement leur processus de pensée mais il y a suffisamment de preuves que les animaux ont leurs sociétés et leurs manières de vivre.

Qui ira dire qu'avec le temps leurs droits devraient être inférieurs à ceux attendus et recherchés par les humains ?

Beaucoup d'animaux sont moins intelligents que les humains mais il y a aussi des variations considérables de l'intelligence parmi les hommes.

Si quelqu'un prétend que l'intelligence inférieure de beaucoup d'animaux nous donne le droit de les traiter comme nous voulons, sans égards, alors il pourrait aussi prétendre que les humains moins intelligents devraient être traités de façon similaire.

En fait, certaines philosophies politiques, bien que très discréditées, ont avancé de tels arguments.

Nous sommes sur cette planète pour un temps limité et la manière dont nous interagissons et utilisons la planète affectera les générations futures, probablement jusqu'à la fin du monde tel que nous le connaissons.

On peut proclamer que c'est notre intérêt de minimiser les souffrances et mauvais traitements subis par les animaux et les hommes, et de se diriger vers un monde plus humain et en paix avec lui même.

Présumant que c'est un but que la grande majorité des gens voient comme souhaitable, il est donc nécessaire d'améliorer notre conduite envers les hommes et les animaux.

Les gens souhaitent généralement vivre en bonne santé et l'approche végétarienne conduit dans cette direction tout en minimisant la souffrance des autres espèces animales. L'approche carnivore entière est basée sur l'hypocrisie. Les gens utilisent quelques animaux comme compagnons et les traitent d'une façon spéciale. Les autres animaux sont souvent vus comme nuisibles ou comme nourriture et donc ne justifient pas les soins et la protection que reçoivent les animaux de compagnie. Il est bon de rappeler que dans beaucoup de pays, si l'on traitait son animal familier de la même façon que dans les fermes on serait passible de poursuites judiciaires.

Beaucoup d'animaux sauvages ne bénéficient d'aucune protection légale et sont donc là pour les chasseurs et quiconque d'autre pour les traquer et les traiter comme ils le souhaitent. C'est ma conviction que l'avenir du monde est très lié à la manière dont nous traitons nos plus faibles créatures et compagnons.

Cruauté et méchanceté ne devraient plus avoir de place dans une société civilisée. Bien que nous clamions souvent que nous sommes civilisés, je prétendrai que nous en sommes loin.

De nos jours nous regardons l'esclavage avec horreur et avons des difficultés à comprendre comment de telles pratiques ont pu durer si longtemps et existent encore maintenant dans quelques parties du monde.

Comme nous sommes sortis de l'esclavage humain nous devons regarder l'étape suivante et sortir de l'esclavage animal.

Un monde végétarien sans exploitation ni cruauté envers les humains et les animaux, par moralité et par intérêt, doit être notre but.

Si nous ne nous en préoccupons pas maintenant, l'avenir de toutes les créatures continuera à être sombre.

Maxwell G.Lee   


16 février 2006

Les animaux ont besoin d'une voix qui défend leurs droits!

On entend souvent dire que les animaux ne peuvent avoir des droits...

...parce que l'on ne peut pas exiger d'eux qu'ils remplissent des obligations.

Seuls les être humains sont capables de remplir des obligations.

Par conséquent, seuls les hommes ont des droits, entend-on souvent.

Pourtant, on ne peut pas exiger que de jeunes enfants remplissent des obligations.

Est-ce une raison suffisante pour méconnaître leur droit au bien-être et leur droit de vivre dans les meilleures conditions?

Au fond, il n'est pas nécessaire de remplir des obligations pour avoir des droits.

Peu importe que vous soyiez très jeune, jeune, adulte, homme ou femme, beau ou laid. Peu importe que vous soyez capable de rédiger des livres savants ou pas. Peu importe que vous ayez la peau blanche ou noire. Peu importe également que vous vous déplaciez sur deux jambes ou sur deux ou quatre pattes.

Au fond, il importe tout aussi peu que vous soyez un être humain ou pas.

Que vous apparteniez oui ou non à la race humaine, l'essentiel est que vous soyez capable de ressentir la douleur, de jouir de plaisirs et de profiter de votre existence. Celui qui est à même de faire l'expérience d'une bonne ou d'une mauvaise qualité de vie possède des droits, qu'il ait ou non un visage humain.

Ces droits élémentaires dont disposent tous nos frères,humains doivent également être accordés à tous nos frères,animaux, ceux que l'on maltraite en les utilisant comme jouets vivant, comme matériaux d'expérience ou comme cibles.

Les animaux abattus au nom de l'industrie de la viande et de la fourrure ont eux aussi ces mêmes droits.

Ce ne sont pas des matières premières.

Au même titre que la nôtre;, leur vie est précieuse, inestimable et digne d'être protégée.

Mais tout comme de jeunes enfants, les animaux ne peuvent pas lutter pour leur bien-être.

Ils sont incapables de se protéger efficacement contre l'arbitraire et la violence de l'être humain.

C'est précisément cette incapacité qui les rend impuissants et vulnérables.

C'est pour cela qu'ils ont besoin que des êtres humains plaident en faveur de la reconnaissance et du respect de leur droits .

Tant que les droits des animaux ne seront pas reconnus, les hommes continueront à les maltraiter comme s'ils étaient d'indignes esclaves.

Mais les animaux ne sont pas nos esclaves et nous ne sommes pas leurs maîtres.

Les animaux ont leurs particularités comme nous avons les nôtres.

La science nous apprend qu'en réalité l'homme est lui aussi un animal, mais à visage humain.

Les hommes vivent dans leur environnement selon leur nature et leurs besoins.

Les animaux sans visage humain font de même, mais à leur manière.

GAIA réunit des hommes et des femmes qui se battent pour que les animaux soient traités équitablement, ...en fonction de leur propre nature et de leurs propres besoins. Tout comme certaines personnes luttent pour les droits de leurs semblables, GAIA se bat pour les Droits des animaux Le droit à une vie digne GAIA a été fondée en 1992. Depuis, elle lutte pour que puisse mener une vie digne de ce nom tout les animaux capables de ressentir la douleur et de jouir de leur existence.

GAIA se bat pour que les animaux sans défense puissent continuer à vivre en harmonie avec leur nature dans les meilleures conditions possibles, libres de l'exploitation et de l'oppression, libres de la maltraitance et de la torture, que ce soit au nom de l'alimentation ou de l'habillement, de la science, du sport ou du divertissement. pour tous les animaux capables de ressentir la douleur Les singes, les vaches, les chiens, les chats, les porcs, les tortues, les poules, les canards, les chevaux, les lions, les tigres, les poissons rouges, les écrevisses, les perroquets, etc., aucun parmi eux n'a un visage humain, mais tout comme nous, ils sont capables de faire l'expérience d'une bonne ou d'une mauvaise qualité de vie.

Ils sont à même de ressentir la souffrance et le plaisir.

Ils ont des sens leur permettant de faire l'expérience du monde qui les entoure.

Ils ont des besoins, des désirs et des espérances.

Ils ont également des sensations de bien-être que nous pouvons anéantir.

Ils préfèrent une vie agréable leur permettant de satisfaire leurs exigences de bien-être et développer leurs qualités à une existence misérable faite de douleurs, de souffrance, d'angoisse, de frustration et d'ennui.

Ce sont des raisons largement suffisantes pour leur accorder une existence digne et ne pas les faire souffrir ou les tuer, simplement parce que nous avons envie de manger leur chair ou que nous voulons nous vêtir de leur fourrure ou de leur peau.

Les animaux ne sont pas des êtres inférieurs.

Afin de justifier la cruauté envers les animaux, les hommes ne cessent de souligner leur supériorité en tant que représentants de la race humaine.

Comme si seul un visage humain importait pour être digne de considération.

Tout comme les racistes rejettent les personnes ayant une couleur de peau différente et les sexistes les personnes de l'autre sexe, les "spécistes" rejettent les animaux comme des êtres inférieur parce qu'ils n'appartiennent pas à la même espèce.

Les animaux ne sont pas des êtres inférieurs.

Si les hommes présentent ainsi les animaux, c'est pour se donner une excuse leur permettant de les faire souffrir et de les tuer pour satisfaire leur intérêt personnel, comme si c'était le chose la plus normale qui soit.

Pourtant, faire souffrir et tuer des animaux n'est pas une chose normale.

Causer de la souffrance à autrui, qu'il ait ou non un visage humain, détruire une créature capable de ressentir la douleur et de jouir de sa vie, ne pourra jamais être considéré comme normal.

Les animaux ne sont ni des matières premières, ni des machines, ni des marchandises.

De quel droit les hommes utilisent-ils les animaux comme des machines à reproduire, des machines à engraisser ou des machines à pondre, comme des morceaux de chair vivante sur deux ou quatre pattes, comme des matières premières servant à fabriquer les manteaux de fourrure, des vestes ou des chaussures en cuir, comme du matériel d'expérience ou des réservoirs contenant des virus ou des organes, comme des cibles, comme des pièces de musée, comme des systèmes d'alarme, etc.?

De quel droit les hommes terrorisent-ils les animaux dans les usines bio-industrielles, dans les univers concentrationnaires pour porcs, veaux, poules, dindons, etc.?

De quel droit les animaux sont-ils volontairement rendus malade, mutilés, martyrisés et empoisonnés dans les laboratoires de recherche?

De quel droit les hommes enferment-ils les animaux dans d'étroites cages en béton afin de les exposer dans des zoos?

Grâce au droit du plus fort!

Le droit du plus fort est une injustice qui dresse tout au long de l'histoire un filet de sang rouge, symbole de violence et de terreur.

Les animaux sont les victimes les plus désarmées de l'injustice humaine.

En quoi les animaux sont-ils nos semblables?

Si une créature vivante, qu'elle ait ou non un visage humain, est capable de ressentir la douleur et de profiter de son existence, il nous faut à tout prix éviter de la faire souffrir ou de la tuer.

Peu importe que nous soyons plus malin qu'elle : les animaux ne sont pas nos esclaves et nous ne sommes pas leurs maîtres.

Les animaux ne sont pas là pour nous servir, ils ne sont pas des matières premières, ils sont tout simplement des animaux avec leur nature propre.

Leur vie n'appartient qu'à eux, tout comme la nôtre n'appartient qu'à nous.

Les animaux apprécient autant que nous de jouir d'une existence heureuse.

A ce niveau, les animaux sont nos semblables. En réalité, nous, les hommes, sommes des animaux.

Nous sommes des animaux avec une nature propre, que nous qualifions d'humaine.

Nous n'avons pas plus le droit d'exploiter nos frères, animaux que nous n'avons le droit d'abuser de nos frères, humains.

Les respecter et les défendre GAIA défend les animaux sans défense Les animaux sont incapables de défendre eux-mêmes leurs intérêts, c'est ce qui les rend si vulnérables.

Livrés à eux-mêmes, ils sont totalement désarmés face à la terreur exercée par les hommes, face à une cruauté organisée à grande échelle (à échelle industrielle, devrait-on dire).

C'est pourquoi, ils ont besoin de défenseurs à visage humain, prêts à se battre pour la reconnaissance de leurs droits.

Car tant que leurs droits seront méconnus, les animaux resteront livrés à l'arbitraire des êtres humains.

C'est pour cela que GAIA mène son action.

C'est une manière de vivre 'Je suis végétarien pour des raisons morales.

Selon moi, la vie d'un agneau n'est pas moins précieuse que celle d'un être humain.

Je trouve que plus une créature est désarmée, plus elle mérite d'être protégée par les humains contre la cruauté perpétrée par d'autres humains.

Mahatma Gandhi : Pour que les animaux aient le droit de mener une existence digne, des hommes modifient leur habitudes alimentaires.

Ils refusent de continuer à contribuer à ce massacre de milliards d'animaux sensibles victimes de l'industrie de la viande.

Ils ne mangent pas de viande et choisissent une alimentation végétarienne de qualité en faveur de règles éthiques à l'égard des animaux des êtres humains ne portent ni manteaux de fourrure ni vestes ni chaussures en cuir, qui nécessitent l'abattage de nombreux animaux. En faveur d'un traitement équitable des animaux des hommes n'utilisent pas de produits cosmétiques dont les produits finis ou les matières premières ont été testés sur les animaux.

Ils évitent dans la mesure du possible d'utiliser des produits testés sur les animaux.

En faveur d'un monde moins violent.

C'est afin de faire reconnaître et respecter les droits des animaux que GAIA se bat depuis 1992.

La mission de GAIA est de déceler la cruauté organisée envers les animaux et de la dénoncer.

Que cette cruauté soit l'oeuvre des entreprises, des laboratoires ou des pouvoirs publics.

A ce niveau, nous recevons l'aide d'informateurs, de conseillers scientifiques, de juristes et de nos propres chercheurs.

GAIA organise des actions de protestations et des campagnes, porte des affaires devant le tribunal et essaye de faire appliquer la législation en vigueur et de l'améliorer en la transformant en une législation où les abus envers les animaux seraient bannis de la société.

90, Rue des Palais 1030 Bruxelles Tel: +32 2/245.29.50 Fax: +32 2/215.09.43 Email: info@gaia.be

http://www.gaia.be/fr/

De : Code Animal [mailto:info@code-animal.com]
Envoyé : lundi 2 janvier 2006 17:39
Objet : Pour aller plus loin : ensemble contre l'esclavage animal

Bonjour,

Nous vous remercions d'être entré dans la marche pour l'abolition de
l'esclavage animal. Nous avons la ferme conviction que ce combat contre
l'esclavage de l'animal dans les cirques est aussi celui de toutes les
formes d'esclavage. En effet, il n'y a pas un esclavage humain d'une
part et un esclavage animal d'une autre part, il y a l'esclavage qui consiste
en un mode d'oppression d'un individu sur un autre. Le texte "Des oubliés de
la décolonisation" met en lumière ce dénominateur commun (rubrique allez
plus loin).

Nous vous invitons en cette fin d'année à faire suivre ce mail à tous
vos contacts et listes afin que de plus en plus de monde puissent
s'exprimer contre cette forme d'oppression banalisée, mais aussi à signer (avec
leur autorisation) pour toutes les personnes de votre entourage qui n'ont
pas accès à internet. L'importance de cette mobilisation donnera d'autant
plus de poids aux démarches que nous mettons en place pour cette nouvelle
année.

Vos documents, photos, témoignages sont essentiels pour apporter du
crédit à ce combat contre l'esclavage sous toute ces formes. 

Les bannières sont disponibles en bas de page.

Avec nos remerciements,

Franck pour Code Animal - http://www.code-animal.com

Adresse postale : Zyzomys - 1A, place des orphelins - 67000  Strasbourg

16 février 2006

Cadeau pour Noel !

« Bon Noël et bonnes fêtes de fin d’année ! Pour ne pas faire de faute de goût dans l’élaboration de vos menus, n’oubliez surtout pas de cliquer sur ce lien :

http://www.pmaf.org/fg/foie_gras.html 

qui vous réserve une surprise gastronomique. Bon appétit ! »

Le chocolat                                                        

Préférez le chocolat noir qui a de meilleures propriétés antioxydantes que le chocolat au lait !

Serafini M et al. Nature 2003 ; 424 : 1013.

Pr Philippe Chanson

On s´interroge sur le rôle bénéfique pour la santé cardiovasculaire que pourrait représenter les flavonoïdes présents dans le chocolat, en particulier l´épicatéchine. Dans une étude publiée dans Nature fin août 2003, des auteurs italiens et britanniques montrent que la consommation de chocolat noir produit effectivement une augmentation à la fois dans la capacité anti-oxydante totale et dans le contenu en épicatéchine du plasma mais que ces effets sont réduits de façon importante lorsque le chocolat est consommé avec du lait ou si du lait est incorporé au chocolat pour constituer du chocolat au lait. Le lait semble donc interférer avec l´absorption des anti-oxydants du chocolat in vivo et pourrait donc annihiler les effets favorables potentiels sur la santé de la consommation modérée de chocolat noir. Afin de déterminer le contenu en anti-oxydants de différentes variétés de chocolat, les auteurs ont pris différents spécimens de chocolat noir et de chocolat au lait préparés à partir du même lot de grains de cacao et ont mesuré leur capacité anti-oxydante totale in vitro. Ils ont ensuite recruté des volontaires en bonne santé et leur ont fait consommer, sur des jours différents tirés au hasard, 100 g de chocolat noir, 100 g de chocolat noir consommé en même temps que 200 ml de lait et 200 g de chocolat au lait. Une heure après cette ingestion, la capacité anti-oxydante totale a été mesurée et trouvée très différente en fonction du type de chocolat. L´adjonction de lait soit pendant l´ingestion, soit au moment de la préparation du chocolat inhibe l´activité anti-oxydante in vivo du chocolat et son absorption. Cette inhibition est probablement due à la formation de ponts secondaires entre les flavonoïdes du chocolat et les protéines du lait qui sont susceptibles de diminuer la biodisponibilité des flavonoïdes et donc les propriétés anti-oxydantes potentielles du chocolat in vivo. Il est vraisemblable que d´autres combinaisons alimentaires peuvent inhiber l´absorption des flavonoïdes et de leurs effets protecteurs. Il est donc important de prendre en compte les habitudes diététiques lorsque l´on fait ce type d´étude.

Végé où carnivores cliquez sur ce lien pour répondre à une petite enquete
merci !!!

http://psychanalyse-et-animaux.over-blog.com/article-1497228.html

16 février 2006

Le végétarisme c'est bon pour la santé

Extrait tiré du tract " le végétarisme " One Voice 

En France , la consommation de viande a augmenté de 500% en un siècle et de nombreuses maladies (cancers , maladies cardio-vasculaires) ont augmenté corrélativement.

De très nombreuses études épidémiologiques (études des populations dans lesquelles les scientifiques comparent les modes d'alimentation en tenant compte de tous les autres facteurs , dont le tabac et l'alcool) permettent de se faire aisément une idée de la nocivité du carnivorisme chez l'être humain . 

Les humains sont proches des herbivores . Un carnivore tel le chien nourri de graisses animales et de cholestérol ne contracte jamais d'arthériosclérose ; en revanche , nourris de la même façon , les herbivores et les humains la développent rapidement . 

CANCERS

La consommation de viande porc une fois ou plus par semaine multiplie chez la femme les risques de cancers du sein par deux ( Lubin et al ., Internationarnal of Cancers , 1981 , et Kolonel et al., British Journal of Cancers , 1981 )

Pour d'autres cancers (oesophage , gros intestin , côlon , vessie , prostate ...) une multitude d'études font état de mortalités réduites , en moyenne par deux fois et demie , chez les végétariens.

L'influence de la viande sur les cancers hormono-dépendants a clairement été démontrée (Dr Jacqueline André , L'équilibre nutritionnel du végétarien).

Un kilo de steak grillé au charbon de bois produit plus de benzopyrène (un fort carcinogène) que la fumée de 600 cigarettes . (Lijinsky et Shubik, science no 145)

- Les nitrates , souvent présents dans les produits carnés (porc principalement) , se transforment dans le corps humain en nitrosamines , carcinogènes extrêmement puissant (Académie Nationale Britannique des Sciences , rapport sur les accumulations de nitrates , 1972) .

D'après un rapport du ministère de la santé de 1993 , en France , le cancer est la première cause de mortalité pour les personnes de 35 à 65 ans . Les cancers de la prostate , du sein et de l'intestin sont en augmentation significative .

Maladies cardio - vasculaires

Les études américaines du docteur Phillips sur 25 000 personnes pendant 20 ans ont démontré que les risques de problèmes cardiaques mortels pouvaient être réduits à 12 % seulement du risque total pour une population omnivore !

Diabète

Hypertension

Dans la plupart des cas , la pression sanguine diastolique est inférieure de 15 % chez les végétariens .

Une récente étude américaine (publiée dans le New England Journal of médecine) donne même 18,2 % de moins que chez les omnivores !

Ostéoporose

La perte de la masse osseuse chez la femme omnivore est de 37 % à 65 ans .

Elle n'est que de 17 % chez la femme végétarienne au même âge .

Maladies infectieuses

On s'apperçois actuellement de la recrudescence de maladies infectieuses transmises par la viande ou le lait (les zoonoses) : tuberculose , slmonellose , listériose , brucellose ...

Ces maladies sont très fréquentes dans les élevages où la concentration des animaux accroît leur vulnérabilité aux microbes et virus .

En France 9 animaux sur 10 sont élevés industriellement .

Les antibiotiques administés aux animaux pour prévenir ou soigner ces maladies , et surtout pour accélérer leur croissance , se retrouvent dans la viande à des taux résiduels .

L'absorbition régulière de ces médicaments en quantités infimes les rend inéfficaces en cas de maladie chez l'homme et provoque des cancers .

L'interdiction récente de plusieurs antibiotiques est arrivée bien tard ... Et il en reste beaucoup d'autres .

Dans la viande , il y a aussi des hormones , béta - agonistes et autres médicaments .

Un laboratoire d'analyses spécialisé , français , peut trouver plus de 150 produits chimiques dans la viande , autorisés ou pas .

Il y a les groupes des béta - agonistes , des stéroides et des hormones , des résidus et métabolistes , des anti -stress , des promoteurs de croissance , ne trouvant leur justification que dans la course au profit de l'élevage industriel .

16 février 2006

Manipulation ; Idées reçues; Conseils

La viande, un mot qui cache des milliards et des milliards de vies innocentes torturées et atrocement tuées

MANIPULATION PAR LA PUBLICITÉ

La publicité évite soigneusement toute allusion aux abus dont sont victimes les cochons, à leur souffrance, à leur mise à mort. La plupart du temps, l’animal est absent du décor. Soit, on le représente comme une pièce difforme emballée dans le cellophane soit, il est représenté, libre de ses mouvements et vivant heureux en plein air. Ou, on le représente sous forme d’un dessin animé, souriant et exprimant sa joie au sacrifice consenti.

Les slogans sont trompeurs et invitent l’acheteur à s’identifier à une image valorisante du consommateur de viande :
gastronomie, diététique, terroir, luxe, tradition et même érotisme… :

« Le cochon, c’est de l’Amour pour la famille », « Le Porc, j’adore », « Le Cochon à son Meilleur », etc.

« Cruelles friandises », disait Plutarque ! Et, malgré le fait qu’on connaisse aujourd’hui les dangers de l’alimentation carnée, on continue curieusement à l’encenser de mérites alors que l’on devrait apposer sur chaque emballage de côtelettes, sur chaque emballage de saucisses, sur chaque emballage de jambon, de creton, de tête « fromagée » une mention analogue à celle qui figure sur les paquets de cigarettes.
Les charcuteries contiennent des nitrites, substances reconnues cancérigènes et la consommation de viande de cochon multiplient les risques de cancer du sein.
ex: 45% des décès au Québec résultent d’une consommation excessive de gras saturés et de cholestérol d’origine animale.

http://www.ass-ahimsa.net/index.html 


Publicité beaucoup plus réaliste


Les poissons ressentent la douleur

PITIÉ POUR LES POISSONS

Pour certains, le poisson est bon pour le coeur, le cerveau, ne souffre pas quand on le tue, constituant même un repas-santé.

C’est pour plusieurs, la dernière frontière avant de devenir complètement végétarien, une phase transitoire, comme si manger du poisson était moins culpabilisant que de dévorer du boeuf ou du porc.

Pourtant, le poisson est sans contredit de la chair animale. Selon de récentes études, la consommation de poisson ou de fruits de mer (comment peut-on qualifier de fruit un charognard comme le homard ?) ne diminuent en rien l’incidence des maladies cardiaques.

N’en déplaise aux vendeurs d’huile de poisson, les fameuses Omega se retrouvent amplement dans les noix, les graines (de lin ou de chanvre) ou les huiles végétales. Décrire le poisson comme un aliment santé alors qu’il passe toute son existence dans un environnement pollué et toxique est absurde.

Les métaux lourds (mercure, arsenic, cuivre, etc.), les pesticides, les éléments radioactifs s’accumulent dans son organisme tout comme dans celui du consommateur de poisson.

Le poisson est l’hôte de virus, de bactéries et de parasites. Une fois pêchés, on soumet les poissons, les crustacés et les coquillages à des séries de traitements chimiques tant sur le chemin du point de vente que sur le point de vente lui-même.

Sur les bateaux, le poisson frais est souvent conservé dans la glace pendant deux semaines ou plus ou plongé dans une solution contenant des antibiotiques et des conservateurs chimiques.

En route vers le détaillant, le poisson frais bien que réfrigéré, peut être soumis à l’action du nitrate de soude, du peroxyde d’hydrogène et d’autres produits chimiques afin de prévenir sa décomposition.

Poissons, homards, crevettes, huîtres ou palourdes peuvent être reliés à l’hépatite, au choléra, à la salmonellose, au botulisme, à divers cancers, à des problèmes du système nerveux et à des malformations congénitales.

Le poisson est un animal en voie de disparition, les océans étant vidés par la surpêche. Ce hold- up de la mer détruit aussi quantité d’animaux marins, puisque les filets des pêcheurs attrapent et rejettent des millions de prises non-désirées (baleines, dauphins, oiseaux, etc.).

Dans les piscicultures, on fabrique à la chaîne poissons, crevettes ou palourdes. Dans ces endroits fermés et surpeuplés, le stress est source de nombreuses maladies. Diverses épidémies (comme la nécrose pancréatique), les virus et les bactéries doivent être contrôlées par des médicaments chimiques tels les antibiotiques.

Les animaux prisonniers reçoivent souvent de la farine de poissons en guise de nourriture.

On manipule génétiquement ces machines à produire afin de satisfaire les producteurs et les consommateurs.

Les poissons ne peuvent vocaliser leur souffrance mais plusieurs études démontrent que leur système nerveux et leurs sens sont assez développés pour ressentir la détresse.

Pour le biochimiste australien Frank Hird : Il est inconcevable que le poisson n’ait pas de récepteurs de souffrance. Il en a besoin pour survivre. Les poissons ont donc une sensibilité et des recherches faites à l’Université d’Utrecht confirment qu’ils ressentent l’angoisse lorsqu’ils sont entravés dans leur liberté de mouvement ou se sentent menacés.

Pour le poisson, le supplice de l’asphyxie est source de souffrance.

Tout comme le fait de mourir entassés sur d’autres poissons dans un filet ou d’avoir le corps ouvert par une lame tranchante.

Il est indéniable que le poisson ressent de la douleur lorsqu’il halète en vain dans le vide à la recherche de son souffle et de sa vie.

SOURCE Photos Peta: http://www.fishinghurts.com/


Homards ébouillantés

Les homards peuvent vivre plus d’un siècle et ont une vie sociale complexe.

Leur système nerveux sophistiqué les rend sensibles à la douleur : les nœuds neuraux sont dispersés sur tout le corps et ne sont pas centralisés dans le cerveau, ce qui signifie qu’ils sont condamnés à souffrir jusqu’à ce que leur système nerveux soit complètement détruit.

Séparer la moelle épinière et le cerveau en coupant l’animal en deux fait même sentir la douleur à chacune des parties encore vivante !

De plus, le homard ne dispose pas du mécanisme dont disposent par contre les humains (entre autres), qui fait qu’en cas de douleur extrême, le choc intervient pour court-circuiter la sensation.

Or, d’après le Dr Robb, de l’Université de Bristol, un homard plongé directement dans l’eau bouillante reste vivant quelques quarante secondes - quarante secondes de souffrance.

Placé dans de l’eau froide portée à ébullition, il peut survivre pendant cinq minutes. Tué par la méthode industrielle qui consiste à l’immerger tout simplement dans de l’eau douce, il agonise pendant deux heures...

De leur capture jusqu’à la fin de leurs misères, ils doivent aussi endurer une privation quasi totale de mouvements pendant des semaines dans de minuscules cages métalliques dans les entrepots, dans les aeroports, puis dans les chambres frigorifiques, puis dans les aquariums, les grands magasins et les restaurants. Par facilité, mais aussi pour éviter qu’ils ne salissent leur cage de leurs déjections, on les laisse jeûner pendant tout ce temps ; pour cette raison, de crainte que, affamés, ils ne s’en prennent les uns aux autres, on les laisse tout ce temps avec les pinces liées avec un ruban adhésif. Plus de 80 millions de homards vivent ce calvaire chaque année de par le monde.

Source: (infos Gaïa, et S. O’Neil, Courrier international, n°474, et C. Gericke, Tierrechte n°22, nov. 2002)

Les homards sont des créatures fascinantes.

Ils atteignent cent ans d'âge, effectuent de longues migrations et ont un sens de l'orientation très poussé qu'ils doivent à des organes extrêmement sensibles dotés de récepteurs particuliers.

Richard Steiner,président de la Protection Suisse des animaux, a pu observer en Nouvelle-Ecosse les méthodes de travail d'une des plus grandes entreprises d'exportation de homards du monde.

Des tonnes de ces grands crustacés sont pêchés sur la côte nord-est des Etats-Unis et du Canada puis "engraissés" dans des homarderies où l'on n'hésite pas à recourir à des antibiotiques.

Dans les récipients pleins à craquer, pinces liées, les animaux sont acheminés vers des halles de conditionnement.

On les entassent dans des boîtes exiguës, en fonstion de la demande les animaux demeurent sous réfrigération: les scientifiques supposent qu'ils ressentent la douloureuse morsure du froid.

Entassés, privés de nourriture, les homards attendent leur fin cruelle...

Une fois plongés dans l'eau bouillante, leur combat contre la mort peut durer plus de deux minutes. Une solution pour les étourdir, consiste à les plonger dans une solution concentrée salée avant de les ébouillanter.

Source: (Oeuvre d'Assistance aux Bêtes d'Abattoir) http://www.lobsterlib.com/ 

 

SI VOUS AIMEZ LES ANIMAUX VOICI COMMENT LES AIDER


Stérilisez votre chien ou votre chat.
Adoptez votre chien ou votre chat dans un refuge pour animaux ou à la SPCA.
En achetant un animal chez un éleveur ( usines à chiots ), dans un chenil ou une animalerie, vous encouragez la prolifération, alors qu'il y a surpopulation.
L'adoption d'un animal représente une grande responsabilité en attention et en soins.
Vous aurez là un compagnon fidèle pour environ une quinzaine d'années.
Réfléchissez bien avant d'investir dans une amitié animale.
Ne gardez pas d'animaux exotiques. Les serpents, lézards, alligators, tortues, singes, oiseaux et poissons tropicaux ne sont pas des animaux domestiques ou de compagnie. De plus, on les soustrait à leur habitat de façon souvent cruelle.
On met leur vie en danger tout en affectant aussi l'environnement.
N'achetez et ne portez aucune fourrure animale.
Dans les fermes d'élevage, les bêtes sauvages emprisonnées dans des cages exiguës n'ont pas droit à leurs écosystèmes naturels.
Le piégeage inflige aux animaux une mort violente dans des trappes qui ne pourront jamais être "humanitaires" . D'un point de vue environnemental, la production de la fourrure requiert une série de traitements chimiques qui polluent l'air, l'eau et les sols.
C'est aussi un gaspillage d'énergie: un seul manteau de vison nécessite trois tonnes d'aliments protéinées.
N'encouragez pas les événements qui exploitent les animaux dans les rodéos, les zoos, les delphinariums ou les cirques.
La place de l'éléphant, du dauphin ou du tigre est dans son habitat naturel, avec ses semblables.
Les exhibitions et les spectacles d'animaux sont incompatibles avec la dignité animale.
N'achetez aucun produit fabriqué à partir de parties animales, tels que l'ivoire ou les os de baleines: de soi-disant médicaments ou aphrodisiaques, tels que les vésicules biliaires d'ours et cartillages de requins.
Si vous utilisez l'homéopathie, vérifiez si les produits contiennent des ingrédients animaux.
Rappelez-vous que le cuir est un sous-produit de l'abattoir.

N'achetez que des cosmétiques ou de produits ménagers n'ayant pas été testés sur les animaux.

Si on vous demande un don de charité pour une société de recherche, sur le cancer, par exemple, informez-vous à savoir si les fonds destinés à la recherche incluent l'utilisation d'animaux en laboratoire.
Les recherches médicales, pharmaceutiques, chimiques et militaires sur l'animal sont gardées secrètes. Pour que la souffrance cesse, dévoilons les tortures infligées aux animaux et réclamons leur abolition.

Avant d'accepter de recevoir un vaccin, pour vous-même ou votre enfant, informez-vous sur les dangers potentiels de la vaccination. Tout individu a le droit de refuser d'être vacciné, même durant une "épidémie". L'obliger à le faire contrevient aux droit reconnus à l'article 1 de la Charte québécoise et à l'article 7 de la Charte Canadienne.

Devenez végétarien, vous serez en meilleure santé et vous aiderez aussi les animaux et la planète.
La viande est liée à plusieurs maladies de dégénérescence et à des catastrophes environnementales.
Adoptez une alimentation constituée de fruits et de légumes et de céréales, faisons de la terre un jardin, pas un abattoir !
Si vous mangez du poisson, prenez note que les poissons ne sont pas des légumes et qu'ils peuvent souffrir eux aussi. Les scientifiques l'ont prouvé par des études récemment.

Si vous avez un jardin, ou même un simple carré de verdure dans votre cour, plantez des arbres, des arbustes, des plantes qui attirent, abritent et nourrissent les animaux.

Si vous avez une grande surface, conservez-en au moins une partie à l'état sauvage.
N'utilisez pas de pesticides chimiques qui tuent sans distinction les insectes dits nuisibles de même que les grenouilles, les couleuvres et les oiseaux insectivores. Encouragez l'agriculture biologique.

Prenez parole pour les sans-voix et aidez-les à votre façon.

Faites circuler l'information, "distribuez des tracts" demandez des copies à notre organisme.

Merci de nous aider, nous avons besoin de votre soutien ( devenez membre d'Ahimsa )

http://www.ass-ahimsa.net/membre.html

pour infos supplémentairespour ou des tracts: vegetarisme@hotmail.com

VÉGÉTARISME ET SURVIE DE LA PLANÈTE Marjolaine Jolicoeur - AHIMSA, 2004

L'industrie de la viande est une catastrophe écologique pour notre planète et une source de souffrance autant pour les humains que pour les animaux.

La viande est un gaspillage d'eau, de céréales.

Elle est liée à une dégradation des sols, à la déforestation, à la contamination des eaux par les nitrates, les engrais, les pesticides et à la destruction des forêts tropicales .

Elle a un impact sur l'effet de serre par les gaz polluants des élevages d'animaux provoquant ainsi de graves changements climatiques.

L'industrie de la viande affame les plus pauvres , contribuant à la famine et à une mauvaise répartition des ressources.

GASPILLAGE DE L'EAU

La pénurie d'eau potable menace à l'échelle mondiale: 40% de la population, répartie dans 24 pays, souffrent de pénurie d'eau, tant en quantité qu'en qualité. (Banque mondiale)

Plus de 3 millions d'enfants de moins de cinq ans meurent chaque année dans le monde de diarrhées causées essentiellement par les eaux contaminées et les pathogènes transmis par les aliments. (International Food Policy Research Institute) 25 pays africains devraient manquer d'eau d'ici les 25 prochaines années tandis que la Chine et l'Inde seraient soumises au stress hydrique. D'ores et déjà 70% des ressources en eau douce sont dégradées ou polluées. (Comité des Nations Unis pour l'environnement)

On estime que la moitié de la consommation d'eau potable mondiale est destinée à la production de viande et de produits laitiers.

Aux États-Unis, 80% de l'eau potable sert à l'élevage des animaux.

TOUJOURS PLUS DE GASPILLAGE ET DE DESTRUCTION

Les troupeaux d'animaux utilisent la plus grande partie des terres agricoles dans le monde: en 1999, quelque 3 460 millions d'hectares étaient utilisés régulièrement comme pâturages, soit plus du double des terres agricoles cultivées en permanence. (UVE)

Pour produire l kg de viande, il faut la même surface de terre que pour cultiver 200 kg de tomates ou l60 kg de pommes de terre ou l20 kg de carottes ou 80 kg de pommes . (Jeremy Rifkin)

Sur l acre de terre

(2 l/2 acres = l hectare) :

20 végétaliens peuvent se nourrir ou l carnivore

Les forêts tropicales humides

couvrent environ 720 millions d'hectares et abritent quelque 50% de la biodiversité de la planète.

Plus de 200 millions d'hectares de ces forêts ont été détruites depuis 1950, notamment pour faire place à des pâturages ou des fermes de bovins.

Cette déforestation a été liée à la perte de certaines espèces végétales et animales uniques en Amérique du Sud et du Centre, la plus riche source de biodiversité du monde. En Amérique centrale, les aires de pâturage sont passées de 3,5 millions à 9,5 millions d'hectares depuis 1950 et la population de bovins a plus que doublé, passant de 4,2 à 9,6 millions d'animaux (Kaimonitz 1995).

Le Brésil possède le deuxième plus grand troupeau de bovins du monde, après l'Inde, avec l60 millions d'animaux.

Pour un hamburger , on transforme en pâturage: 6 mètres carrés de forêts vierges.

Si la viande vient d'un bovin sud-américain, on détruit : 75 kilogrammes de matière vivante, 20 espèces végétales, l00 insectes et des douzaines d'espèces d'oiseaux , de reptiles et de mammifères. (Jeremy Rifkin)

Les États-Unis importe 200 millions de livres de boeuf de l'Amérique centrale chaque année . (Steve Boyan, University of Maryland)

UN SIMPLE HAMBURGER

Il y a plus d’ingrédients dans un hamburger de 115 grammes que l’on ne peut le voir d’un simple coup d’œil. Pour commencer, 8000 calories d’énergie issue de combustibles fossiles sont utilisées dans la production agricole d’un hamburger de 400 calories, sans compter le petit pain.

Selon des estimations on détruit 17 mètres carrés de forêt tropicale abritant 75 kilogrammes de plantes et d’animaux vivant pour produire un steak haché de bœuf en Amérique Centrale.

Dans leur ensemble, la terre, le combustible et l’eau utilisés pour élever le bétail et transporter le bœuf de la ferme à l’assiette impliquent une dépense d’énergie beaucoup plus grande que le hamburger ne fournit à la personne qui le mange.

Si l’on ajoute les à côtés tels que la pollution de l’eau, l’hypertension artérielle et les maladies cardio-vasculaire, les aspects négatifs du hamburger surpassent de loin leur valeur nutritive.

World Watch http://www.delaplanete.org/article.php3?id_article=150&var_recherche=hamburger

RIEN DE PERSONNEL !

Mais que cela vous plaise ou non, le fait de manger de la viande devient un problème pour nous tous sur la planète.

World Watch http://www.delaplanete.org/article.php3?id_article=148&var_recherche=viande

LES CONSOMMATEURS DE VIANDE POMPENT L'EAU MONDIALE

The Guardian http://www.veganimal.info/article.php3?id_article=190

SUBSTANCES TOXIQUES DANS L'ENVIRONNEMENT ET LA VIANDE

Des traces d'éléments sont souvent ajoutées aux aliments du bétail comme sources d'oligo-éléments.

Le cuivre et le zinc sont délibérément mélangés à une variété de concentrés alimentaires du bétail tandis que des métaux lourds comme le cadmium sont introduits involontairement dans les aliments par le biais des phosphates présents dans les ingrédients utilisés.

La digestion concentre ces divers éléments à des taux élevés dans le fumier et le purin des animaux.

Les sols auxquels sont régulièrement appliqués des déjections de cochons et de volailles peuvent accumuler d'importantes quantités de métaux lourds capables à leur tour de contaminer les cultures et de constituer une menace pour la santé humaine. (International Food Policy Research Institute: L'élevage d'ici 2020: la prochaine révolution alimentaire")

Des substances toxiques comme des résidus de pesticides (qui contiennent souvent du mercure ou de l'arsenic), des métaux ( zinc, cadmium et cuivre) et des métaux lourds (comme le mercure contenu dans la viande de cochons nourris avec du maïs traité aux fongicides) contaminent à la fois l'environnement et les humains. (International Food Policy Research Institute)

Aux États-Unis, 75% des pesticides vont pour les cultures de soya, de blé, de coton et de maïs.

Mondialement 2.5 millions de tonnes de pesticides sont utilisées chaque année. (David Pimental) .

A cause du phénomène de la bioconcentration, la viande contient environ l4 fois plus de résidus de pesticides. Les produits laitiers en contiennent plus de 5 ½ fois plus que les végétaux. (Lewis Regenstein)

CHANGEMENTS CLIMATIQUES

"Le méthane produit par les bovins engendre un effet de serre qui correspond environ aux polluants du transport automobile global" . (Jeremy Rifkin)

L'effet de serre est causé entre autres par trois gaz: le méthane, le protoxyde d'azote et le dioxyde de carbone . Le méthane: il affecte la couche d'ozone dans l'atmosphère et contribue au réchauffement de la planète et aux changements climatiques globaux.

Une des sources les plus importantes de production de méthane provient des ruminants: boeufs, vaches, buffles, moutons, chèvres et chameaux .

Le méthane est rejeté par les animaux comme produit de la digestion.

Il est exhalé au cours de la respiration, au cours d'éructations ou sous forme de flatulences.

Il est également rejeté par les déchets solides produits par ces animaux, par la décomposition du fumier .

Le fumier de tous les types d'animaux peut produire du méthane .

Depuis 2 siècles, la concentration de méthane dans l'atmosphère a plus que doublé.

Entre l5 à 20% des émissions mondiales de méthane sont liées à l'élevage des animaux.

Les l.3 milliard de bovins de la planète produisent ll5 millions de tonnes de gaz de méthane annuellement . Une molécule de méthane contribue 25 fois plus à l'effet de serre qu'une molécule de dioxyde de carbone. (Jeremy Rifkin)

Un boeuf produit environ 65 kg de méthane par année. Une vache laitière plus de l30 kg soit 500 litres par jour. (R. Desjardins, Agriculture et Agroalimentaire Canada) Protoxyde d'azote : il représente le gaz à effet de serre le plus agressif (320 fois plus agressif que le dioxyde de carbone).

Il est produit au cours du stockage du fumier ou lorsqu'il est appliqué sur le sol.

C'est un décomposé stable qui se décompose difficilement et qui possède un temps de séjour dans l'atmosphère de 120 ans.

Les principales sources agricoles de production de ce gaz , outre les déchets d'élevage comme le fumier, sont les engrais minéraux et la culture des aliments pour animaux. Dioxyde de carbone: provient de la combustion de combustibles fossiles.

La concentration atmosphérique de ce gaz a augmenté de 30% depuis les deux derniers siècles .

L'industrie de la viande y contribue largement en raison de sa dépendance à la mécanisation pour produire l'énorme quantité de céréales et d'aliments servant à l'alimentation des animaux.

Le déboisement - pour faire place aux pâturages et aux cultures - est une source d'émission de ce gaz. Les engrais chimiques (hydrocarbures) sont à base de pétrole ainsi que certains pesticides.

De plus, les animaux sont transportés du lieu de leur naissance, vers l'encan, vers l'abattoir, chez le boucher, l'épicier et ces déplacements se font par camions , une autre source de pollution par l'essence. 1 kg de viande de cochon équivaut à l'énergie de 4 litres d'essence (David Pimentel, Cornell University) 1 kg de viande de boeuf engendre 50 fois plus d'émissions de gaz à effet de serre qu'un kilo de blé . (Jean-Marc Jacovi "L'avenir climatique")

Une auto produit 3 Kg/par jour de dioxyde de carbone. La destruction d'une forêt tropicale pour produire un hamburger produit 75 kg/par jour de dioxyde de carbone. (Steve Boyan, University of Maryland)

Bien que ces gaz soient naturellement présents dans l'atmosphère, leur récente accumulation résulte en grande partie des activités humaines.

Cette augmentation a modifié la composition de l'atmosphère terrestre et aura un impact sur le futur climat mondial .

L'effet de serre est lié à la fonte des glaciers, à la montée des eaux, à une recrudescence des inondations, des tempêtes, des tornades , à une aggravation des problèmes d'eau ainsi qu'à des sécheresses.

Les impacts sur l'agriculture seront considérables.

DES SOLUTIONS?

Le prix de la viande ne reflète pas les désastres environnementaux qu'elle engendre.

Selon les estimations du Worldwatch Institute, le prix de la viande devrait être doublé ou triplé si on prend en considération ses coûts liés à l'utilisation de l'énergie fossile, du gaspillage de l'eau, des céréales , de la pollution des sols et des émissions de gaz à effet de serre.

Et ce sans compter les coûts des nombreuses maladies humaines causées par la consommation de produits animaux.

Au lieu d'être largement subventionnée par les gouvernements, la viande devrait être au contraire lourdement taxée afin d'encourager les consommateurs à se tourner vers une alimentation à base de fruits, de légumes, de céréales, une alimentation moins catastrophique pour la santé de la planète mais aussi pour les humains et les animaux.

De plus, une alimentation végétale démontre une plus grande compassion envers la souffrance et l'esclavage des animaux.

Viande biologique?

Certains se donnent bonne conscience en mangeant de la viande provenant d'élevages dits biologiques.

Cependant, ces animaux consomment aussi de grandes quantités d'eau potable, de céréales, rejettent des tonnes d'excréments et polluent l'atmosphère par le méthane et autres gaz nuisibles .

Ils sont transportés vers l'abattoir, vers l'épicier par des camions fonctionnant à l'essence .

Tous ces animaux finissent dans l'horreur de l'abattoir, car même s'ils sont dits biologiques, ils ne beuglent pas de plaisir sous le couteau du boucher.

Le lait et le fromage dits biologiques proviennent de vaches dont les veaux sont envoyés à l'abattoir afin de fournir l'industrie de la viande.

Idem pour le lait ou le fromage de chèvre.

La chair animale peut être dommageable pour la santé humaine, même si elle est dite biologique.

Elle contient des résidus de la pollution industrielle venant de l'atmosphère, comme les dioxides, le cadmium ou le mercure.

Sous l'effet du stress à l'abattoir, l'animal qu'il soit biologique ou pas , libère de son squelette du plomb. Écologie vient du mot grec "maison".

De toute urgence, nous devons prendre soin de notre maison la planète Terre.

Individuellement, notre alimentation a des répercussions globales.

Nous avons tous le pouvoir d'aider à la santé de notre planète et de ses habitants en ayant une alimentation végétale, sans viande et produits animaux.

Et pour finir avec ce billet

Un petit poème écrit par un blogueur amis pour mon espace

Merci à Abdelmalik

                 Tous perdants

Le chien ! Le meilleur ami de l’homme

L’homme ! Le meilleur amant de la femme

La fourrure celle de la mode

Les chiens victimes de la mode

Les hommes tromper part d’autres amants

Les femmes achetées par des fourrures

© Tout droit réserver Abdelmalik. Vitrant ®

http://spaces.msn.com/members/Proseunregard/PersonalSpace.aspx?owner=1

16 février 2006

Chiens et chats aux menu en asie ...

LES CHIENS ET LES CHATS DESTINES A LA CONSOMMATION EN ASIE.

Chaque année, des millions de chiens et de chats sont torturés à mort pour être servis dans des restaurants asiatiques.

Pendaison, électrocution, écorchage, brûlures, coups font partie des méthodes de mise à mort des chiens et chats de boucherie d'Asie.

La souffrance et la peur ressenties par l'animal, durant son agonie, rendent soit-disant sa viande plus tendre ou aphrodisiaque, lié aux montées d'adrénaline qu'elles provoquent.

Manger du chien et du chat se pratique dans certains pays d'Asie:

Des chiens errants, jusqu'aux dalmatiens exportés ces dernières années depuis les USA vers la Chine et la Corée ou des Saint-Bernards exportés de Suisse.

Aujourd'hui, de nombreux Coréens, pour ne citer qu'un exemple, aiment les chiens et les chats comme animaux de compagnie et les traitent avec beaucoup d'amour.

Pourtant, chaque année, des milliers de chiens et de chats sont torturés, tués, et mangés, en Asie, au nom d'idées reçues sur leurs éventuels bienfaits sur la santé.

Pour certains Asiatiques, torturer longuement ces animaux avant leur mise à mort rendrait la viande meilleure ou aphrodisiaque du fait de la montée d'adrénaline provoquée par la peur et la souffrance que ressent l'animal.

Le sort de ces animaux est horrible: les chiens passent leur vie enfermés dans des cages, dans des conditions insalubres, souffrant bien souvant de déshydratation et de famine. Le jour où ils sortent de leur cage c'est pour être torturés à mort.

Certains chiens sont électrocutés à l'aide de décharges électriques durant une heure entière. Il existe un appareil ressemblant à un chalumeau, destiné à leur brûler les poils et la peau, alors que le chien est toujours vivant. D'autres sont égorgés, éventrés, jetés dans les flammes. Les chats sont sortis des cages pour être enfermés dans des sacs puis battus à mort contre le sol. D'autres sont jetés vivant dans l'eau bouillante pour y être liquéfiés. Etc.... Etc... Etc...

La mort est la seule délivrance pour ces animaux.

Depuis la création de ce site, il y a quelques années, les mentalités ont évolué dans le bon sens. Mais il reste encore du travail. Je vous invite à découvrir les photos des différents dossiers relatant une triste réalité actuelle ou passé... Rappelez-vous que ce n'est qu'en acceptant de regarder la réalité en face que nous serons capables de comprendre les souffrances endurées par ces pauvres chiens et chats.

Manger du chien était une pratique assez limitée dans l'histoire de la Corée, mais devint plus répandue durant la guerre de Corée, lié aux problèmes de survie de la population. Cette pratique s'est généralisée dans les années 80 quand on attribua à la viande de chien et de chat des vertus soit-disant aphrodisiaques ou curatives pour les rhumatismes. Pourtant, beaucoup de Coréens ne mangent pas de viande de chien. La consommation de chien et chat est donc lié à un intérêt purement commercial. De plus, le docteur Kim, médecin spécialisé dans la recherche en rhumatologie, à la faculté de médecine de Hanyang, prétend que le jus de chat n'a aucune vertu dans le traitement de l'arthrose. De même, une viande bourrée de toxines lié aux montées d'adrénaline serait plutôt nocive pour la santé. Mais les Coréens restent sur leurs idées reçues. En 1984, consécutivement aux pressions internationales avant les Jeux Olympiques de Séoul, le Ministre de la santé finit par faire interdire la viande de chien. En 1991, de nouveau suite à des protestations internationales, le gouvernement coréen vota une loi destinant à protéger tous les animaux contre les maltraitances et toute forme de cruauté. Les mentalités ont évolué. Aujourd'hui, nombreux sont les Coréens qui respectent les chiens et les chats, et les aiment comme des animaux de compagnie.
Mais il reste une minorité de consommateurs de chiens et de chats.

Espérons que les photos de ce dossier deviendront rapidement et complètement de tristes mais lointains souvenirs.

Allez visiter ce site , il est vraiment bien fait ...

http://www.chez.com/viedechien/coree/coree2.htm





16 février 2006

Beurk- Geurks de baleine ! Mais ou va -t-on ???

Aprés l'autruche , le kangourou etc ...

( une info de dernière minute parue sur un forum végé)

Effectivement, on fait des hamburgers avec de la viande de baleine...

Info trouvée dans le forum de l'association Aequo Animo

http://www.aequoanimo.com/

jeudi 23 juin 2005, 16h10

Des hamburgers à la baleine vendus au Japon grâce à la pêche
"scientifique" nippone TOKYO (AP) -
Tranche de baleine, laitue, mayonnaise pour 380 yens, soit trois euros environ: une chaîne de restauration rapide nippone proposait jeudi un hamburger au steak de baleine alors que la communauté internationale appelle le Japon à mettre fin à son programme prétendument scientifique de pêche au cétacé. La chaîne "Lucky Pierrot" a commencé jeudi à servir son sandwich à la viande de baleine frite dans ses dix restaurants d'Hakodate, sur l'île d'Hokkaïdo au nord de l'archipel, un ancien haut-lieu de la chasse à la baleine. Le Japon fait face à des critiques croissantes sur son programme scientifique de pêche à la baleine car si les animaux sont tués pour être étudiés, leur viande se retrouve commercialisée dans le pays. Ce qui fait dire à beaucoup que le pays du Soleil levant pratique en fait une forme de chasse commerciale déguisée. Chaque année, le Japon tue 400 rorquals communs dans l'Antarctique et 210 autres cétacés dans le Pacifique: 100 rorquals communs, 50 rorquals de Bryde, 50 rorquals de rudolphi et 10 cachalots.

http://fr.news.yahoo.com/050623/5/4h3u7.html 

16 février 2006

Vidéos

1-Ne LES abandonnez pas !

http://www.protection-des-animaux.org/tv/Fourriere/_aifuvmgxumrbwuo/Fourriere.w mv

2-Joyeux réveillons !

http://www.gaia.be/mpg/Foie-gras-enquete.wmv

N'hésitez pas à cliquer sur ces liens pour voir les traitements infligués aux animaux 

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Végétarisme : un impératif éthique et écologique
  • 21ème siècle tout fou le camp ... Le monde va mal et tout le monde s'étonne !!! Pourtant une minorité grandissante de la population tend vers un mode de vie qui pourrait bien avoir une solution pour un monde meilleur .
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